Que pense les internautes de l’aquabiking ? Comment les pratiquants perçoivent-ils cette discipline qui prend de l’ampleur ? Découvrez les avis au sujet de cette pratique physique et sportive aquatique qu’est l’aquabiking.
Sachant que 9 internautes sur 10 recherchent l’information et consultent les avis avant d’acheter (source TNS Sofres 2012), et que 95% des internautes reviennent au sein d’un établissement si les avis y sont bien traités (source Nielsen 2013), nous vous invitons fortement à utiliser le droit de réponse dont vous disposez.
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Le 15 août 2010 à 15 h 12, aquarium a dit :
Bonjour, je fais de l’aquabiking depuis un an (je fais 1 à 2 cours de 3/4 d’heure par semaine avec 2 cours d’aquagym de 3/4 d’heure aussi). L’aquabiking donne encore plus de résultat que l’aquagym, tu perds pas mal de calories, on s’affine tout en s’amusant. J’ai perdu environ 7 kg et demi ainsi qu’une taille de vêtement ! Je ne pourrais plus m’en passer car je m’amuse à ces cours et je me défoule !!!!
Le 27 août 2011 à 11 h 44 , magma a dit :
Bonjour, je viens de commencer l’aquabiking hier, dur, dur, je suis rouillé ! mais c’est trop génial de se retrouver dans l’eau, allé c’est parti pour 20 séances !!
Le 27 octobre 2011 à 15 h 23, quirion a dit :
Franchement c’est efficace ! Il faut se donner à fond, le faire 2 à 3 fois par semaine. C’est idéal on a la sensation d’avoir des jambes toutes légères en sortant et l’avantage de l’eau zéro courbatures. Pas de traumatisme, de chocs cependant avant toute activité physique il faut l’avis d’un médecin. a compléter pour arriver à 45 mn de cardio-training et puiser dans nos réserves de graisses !! Par exemple un peu de rameur 20 mn et hop dans la piscine ! ensuite il faut se donner le temps de pratiquer régulièrement pour voir les bénéfices et là sur la micro-circulation les vaisseaux sanguins c’est stimulant et ça réduit la cellulite ! C’est un peu cher mais ça vaut l’investissement.
Le 22 mai 2012 à 20 h 16, caroline a dit :
Je me suis mise à l’aquabiking il y a deux semaines de ça.
Mis à part le prix (à rajouter au forfait déjà existant … 120€ les 20 séances vu que je suis membre), et l’obligation d’appeler à chaque fois la veille pour la réservation du lendemain (j’ai appelé ce matin à 8h53 et il n’y avait déjà plus aucune dispo ! ), je trouve l’aquabiking TIP TOP.
D’une, on se défoule et tout en douceur, ayant mal au genou je peux faire du cardio à fond sans aucun problème d’articulation le lendemain!
Ensuite, l’effort dans l’eau est triplé et le mouvement fait que la cellulite : pfiou ! elle s’en va plus facilement
Bref que du bonheur !
Le 05 juin 2012 à 10 h 55, nono a dit :
Moi j’aime bien, parce qu’au contraire de la natation t’as pas besoin de savoir plus ou moins bien nager.. là tu pédales dans l’eau, tout le monde sait le faire, on est au même niveau !
Le 24 septembre 2012 à 22 h 30, ainvittel a dit :
Je pratique l’aquabiking en salle de sport, deux fois par semaine voire trois parfois , c’est un sport sympa où il n’y a pas de problème d’articulations et pas de problème de pesanteur dans l’eau.
Niveaux bienfaits, moi il ne m’a pas fait maigrir car j’en ai pas besoin, mais ça modèle bien les fessiers et donne une belle allure on va dire , mais ça fait maigrir si besoin, après un mois tu commences à voir les résultats.
Le 25 septembre 2012 à 19 h 57, nora a dit :
J’en ai fait avant d’être enceinte et c’est super.
Tu te donnes à fond mais tu sens moins les courbatures car évidemment dans l’eau c’est plus doux.
Je confirme ce qui a été dit, ça affine la silhouette mais je ne pense pas que ça fasse maigrir à proprement parler.
Le 17 novembre 2012 à 16 h 15, geneviève a dit :
Super ! C’est ludique et efficace pour se muscler aussi bien le haut que le bas du corps. Moi, j’ai un coach formidable. La musique est de la partie et ces 45mn de sport est un vrai plaisir car pas trop de sollicitation dans l’eau tout en étant intensif.
Le 17 novembre 2012 à 17 h 01, al a dit :
J’adore ! J’y vais deux à trois fois par semaine. Les exercices sont multiples et avec certains profs on travaille aussi les bras. C’est bon pour le cœur, le haut et bas du corps, les abdos aussi, bref, un sport complet qui en + atténue la cellulite! Je recommande à tlm !
Le 17 novembre 2012 à 17 h 54, sandy a dit :
Je fais de l’aquabiking depuis qq mois, c’est excellent pour la circulation sanguine, véritable massage lymphatique, et génial pour tonifier les muscles en profondeur. En plus, l’avantage est de ne pas avoir de courbatures !
Le 17 novembre 2012 à 20 h 55, carine a dit :
Bonjour,
je pratique l’aquabiking depuis 6 mois et j’adore ! bon pour le cœur et pour les cuisses : c’est génial ! mais surtout ne pas oublier sa bouteille d’eau car sinon attention au crampes . Foncez ,vous ne serez pas déçue
Pour les débuts, faites des séances de 30 mn et si ça va, passez a 45 mn . c’est que du bonheur !
Le 23 janvier 2013 à 12 h 20, sandrine a dit :
Franchement c’est génial ! ça raffermie les muscles et ça améliore également votre cardio, je conseille complètement cette méthode 🙂
Le 05 avril 2013 à 17 h 59, looping a dit :
Déjà c’est du cardio , ça muscle doublement grâce à la résistance de l’eau et pendant que tu bouges l’eau te masse donc je pense que s’il y a bien un sport qui est efficace c’est celui la il est complet.
Le 06 avril 2013 à 13 h 32, basaba a dit :
Bonjour,
J’en fais une fois par semaine depuis 6 mois environ.
Honnêtement, je n’ai pas remarqué d’effet direct. Il faudrait pratiquer plusieurs fois par semaine, pour ça.
Mais c’est sympa, et ça fait travailler partout.
Moi, ça me convient bien.
Le 11 juin 2013 à 9 h 21 min, Mél.b a dit :
Bonjour,
Je viens de tester l’aquabiking hier midi, et j’en suis ravie, un peu physique, on transpire, les muscles des cuisses sont au boulot ! un vrai régal pour celle qui aime l’eau et le sport en mode détente !! Je le recommande… pour les effets sur ma silhouette je vais attendre quelques semaines pour voir les résultats.
Le 14 octobre 2013 à 10 h 39 min, charlotte a dit :
Bonjour, j’ai commencer il y a 2 semaines et je sens déjà que je change physiquement.
De plus je fais un métier ou je suis debout donc j’ai les jambes qui gonfle et là elles gonfles moins , je suis contente , même si je paye cher .Je complète avec une crème anti-cellulite et un régime et résultat -3 kilos en 2 semaines.
Jetez vous à l’eau !!!!!!!
Le 13 janvier 2014 à 22 h 27 min, cmoi a dit :
Avez vous pensé a mesurer vos cuisses avant de commencer l’aquabiking ?? Il n y a que de cette façon que l on se rend compte des effets, personnellement j avais un tour de cuisses de 51 cm en 1 mois a raison de 2 séances semaine 46 cm soit 5 cm de moins … donc oui résultat pour ma part …. l’impression que ma peau est plus lisse… je n ai pas perdu de poids mais ce n était pas mon but.
Le 13 janvier 2014 à 12 h 47 min, anita a dit :
Il y en a un nouveau à cote de chez moi donc je suis tombée dessus par hasard. je suis rentrée pour voir et je suis repassée le lendemain pour essayer une séance.
Alors j’ai adoré ce sport et le centre est vraiment beau. C’était un cours de 45 mn avec un coach! et après le cours on a accès au sauna! c’était pro et propre -)
Ils sont ouverts le dimanche! Donc comme le dimanche je sais jamais si j’ai envie de faire qq chose ou pas … je me suis dit Allez sport mais dans l’eau dc sympa et après je me relaxe au sauna. bonne combinaison 🙂 Donc le dimanche je me mets à l’aquabiking.
Le 21 janvier 2014 à 19 h 11 min, ama a dit :
Je fais de l’aquabiking depuis 10 jours et je suis déjà étonnée des résultats. Peau plus lisse, plus ferme, fesses gommées et plus galbées. Zéro courbature, bras raffermis. Petit effet sur le ventre mais j’y vais 2 à 4 fois par semaine. Super contente, à faire d’urgence.
Le 27 janvier 2014 à 09 h 43 min, julie a dit :
Inscrite depuis 1 mois. J’y vais 2X /semaine depuis 1 mois les effets commencent à apparaître ! – de peau d’orange et ça fait du bien au corps!
J’ai un problème au genou ms les cours sont faits par des coachs et ils adaptent les mouvements.
Le 6 février 2014 à 21 h 47 min, Leveque Nataf a dit :
Depuis 1 mois et demi , je me suis mise a l’aquabiking et je suis enchantée . A la fin du cours une sensation de bien être extraordinaire et de légèreté . A ma grande surprise on travaille autant les muscles des bras que ceux des jambes. Je n’ai pas perdu un gramme , mais mes pantalons flottent un peu !
Le 23 février 2014 à 12 h 39 min, célinette a dit :
Moi je ne jure plus que par l’aquabiking, pour moi c’est le sport à pratiquer si on veut perdre du poids et se sculpter aux bons endroits (adbos, cuisses, fesses). c’est vrai qu’avant il n’y avait pas beaucoup de centres qui en proposait, mais en ce moment ça bouge pas mal et certains centres font leur apparition. J’habite dans l’est de paris et j’ai découvert un tout nouveau centre qui propose des séances d’aquabiking coaché de 45 min avec une séance de sauna à la fin. j’ai prix un abonnement chez eux et je ne regrette pas. c’est vraiment un sport à essayer.
Le 7 mars 2014 à 11 h 56 min, lucienne a dit :
Bonjour à tous,
Je suis retraitée et, sur les conseils de ma belle fille, je me suis mise à l’aquabiking.
Je trouve ce sport formidable car il permet de rester en forme sans risquer de se faire mal. Les cours durent 45 minutes et sont assurés par un professeur, ce qui est vraiment motivant. J’ai été agréablement surprise par la mixité. Certes il y a beaucoup de jeunes (et c’est bien normal) mais il y a aussi des personnes de mon âge.
Le 11 avril 2014 à 12 h 01 min, marie b a dit :
J’ai commencé l’aquabiking il y a 3 mois et je vois déjà les résultats. J’ai perdu au niveau du ventre et des cuisses. Le top c’est que je n’ai jamais de courbatures !
Le 27 avril 2014 à 10 h 17 min, amrose a dit :
Je fais de l’aquabiking depuis trois mois et je ne peux plus m’en passer. Les bienfaits sont multiples surtout que notre animateur est très sympa et nous fais également travailler les muscles des bras. Un sport qui va vous donner de très belles jambes et des fesses bien fermes et pour celles qui ont de la cellulites c’est très efficace. Résultat : un corps ferme et vous allez vous refaire une santé…..
Le 02 mai 2014 à 11 h 56 min, talia a dit :
Moi aussi je fais de l’aquabiking depuis quelques mois et je suis complètement addict. Ça fait trop bien travailler les jambes et les abdos. En plus dans le centre où je vais il y a vraiment une bonne ambiance. On n’est pas trop nombreuses et le coach a le temps de s’occuper de chacun.
Le 21 mai 2014 à 14 h 19 min, cp a dit :
Un nouveau centre aquatique s’est ouvert près de chez moi et j’ai commencé l’aquavélo il y a 15 jours en alternant avec l’aquafitness : j’essaie de me fixer au moins 3 séances par semaine (c’est assez facile point de vue horaires parce que le centre propose de nombreux créneaux de 9H00 à 21H00 en semaine et 9H00-13H00 le samedi). La réservation des séances se fait par internet, c’est pratique, on voit le nombre de places restantes. Le prix est correct par rapport à certains autres centres : entre 11 et 18 euros la séance selon la formule choisie. Mon avis pour le moment : un gain en fermeté, pas de courbatures mais on sent bien que les muscles ont travaillé (aïe aïe les quadriceps quand on est debout sur le vélo), des effets sur la circulation sanguine : moins de lourdeurs et donc moins de douleurs dans les jambes. J’apprécie le rythme des séances : pendant 45 min, on bouge non stop, en musique, c’est dynamique. J’espère pouvoir venir donner un avis positif sur la perte de cm et de cellulite dans quelques mois…
Le 23 mai 2014 à 21 h 43 min, lolita a dit :
Cela fait plus d’un an que je pratique l’aquabiking régulièrement (3 fois par semaine). Dans la salle ou je suis adhérente, les séances durent 45min. Il y a deux professeurs, un qui est plus basé Cardio et l’autre plus renforcement musculaire. J’aime faire des cours avec les deux, c’est plus complet. Niveau douleur, je confirme : Aucune douleur le lendemain !! Mise à part peut être quand la séance d’abdominaux est intense !!
Côté peau, la cellulite qui était basée sur mes cuisses a quasiment disparu en totalité.
Adorant faire du vélo et l’eau, ça a été pour moi un compromis génial !! Ça m’a permit de renouer avec le sport et surtout d’aimer cela.
Je recommande 😉
Le 6 juin 2014 à 10 h 57 min, kat a dit :
Je valide l’aquabiking à 100%, c’est la première fois que je fais un sport à aussi haute fréquence (2 à 3 fois par semaine) sans ressentir aucune douleur.
Niveau résultats, je dois dire que c’est assez impressionnant, peau plus lisse, cuisse plus ferme, le résultat est là.
Je préfère les cours coachés qui sont plus efficaces que les cours en cabine individuelle.
Le 26 juin 2014 à 16 h 21 min, so a dit :
J’ai commencé il y a 3 mois un peu sur la dilettante par une séance d’une 1/2h par semaine, puis 2 à la suite. Je suis passée à 3 puis 4 (en 2x 1h par semaine) depuis un mois.
Au début, la cardio m’achevait rapidement (trop peu de sport ces dernières années), mais l’eau reste facilitatrice, et l’on tient ce que jamais on ne pourrait faire sur la terre ferme.
Pas de courbature, amélioration du souffle, de la circulation, peau qui se lisse doucement mais sûrement! Certes mes fortes cuisses n’ont pas encore fondu, et ma culotte de cheval est toujours là, mais il y a réellement une évolution physique, confirmée par mon « exigeant » de mari! rires… Bref, c’est bon au corps et au moral, et je pense que sur la durée, ça fonctionne !
Le 28 juillet 2014 à 10 h 41 min, fanny a dit :
Je confirme que l’aquabiking ça marche trop bien. j’ai perdu 5 kilos en 5 mois grâce à l’aquabiking et depuis je les ai pas repris. je continue l’aquabiking, j’en fais 2 fois par semaines, par contre j’ai arrêté mon régime. C’est le sport le plus efficace que j’ai jamais fait (et j’ai testé plein de trucs).
Le 04 août 2014 à 17 h 27 min, marie a dit :
J’y suis venue suite à un mal de dos après un déplacement disque/vertèbre.
A raison d’une fois par semaine en club sur Lyon 3, en 3 mois mon ostéo ne reconnaissait pas mon dos !
Des abdos en plus, une taille affinée, des cuisses et fesses musclées (pas de perte de volume non plus mais plus fière allure!), et moins de cellulite.
C’est un sport parfait, mais cela dépend aussi des profs (j’adore mon coach!).
Le 14 novembre 2014 à 15 h 07 min, tot a dit :
L’aquabiking c’est super, j’y vais depuis 2013. Dommage que je ne puisse y aller plus d’une fois par semaine.
Le 12 janvier 2015 à 18 h 39 min, odil a dit :
Rien de mieux pour reprendre le sport après une grossesse ou arrêt de sport de longue durée.
On fait de l’effort sans souffrir, on progresse vite, j’ai perdu 4kg en 6 semaines sans rien changer à côté (pas de régime, pas de produits amincissants..). Pour la cellulite les premiers résultats apparaissent dès 1 mois ( rythme : 1 séance/semaine de 3/4 d’heure). Bref à adopter pour tous !
Le 5 février 2015 à 20 h 37 min, isabelle a dit :
Moi j’en fait !!! J’adore et c’est la première fois que je transpire dans l’eau !!
Le 13 février 2015 à 08 h 31 min, samantha a dit :
L’aquabiking m’a permis de perdre du poids plus facilement qu’avec un simple régime. Et annihiler la cellulite ! Je suis mieux dans mon corps et dans ma tête. Quand je sors d’une séance coachée je me sens revigorée alors que je suis épuisée, c’est un étrange sentiment. Et puis les sports d’eau laissent l’impression que le corps continue de travailler après la séance. Est ce juste une impression ? Je suis vraiment contente de m’être lancée…
Le 20 février 2015 à 09 h 37 min, lafita a dit :
Je suis enceinte de 7 mois et je pratique l’aquabiking ! Ce n’est pas du tout contre indiqué, au contraire je pense…. Les mouvements sont adéquates ! C’est mon kiné qui m’en a parlé car il va dans ce même centre.
Enceinte, je fais de l’Aquabiking
Je suis enceinte depuis quelques semaines, je peux continuer de pratiquer régulièrement l’aquabiking ? Voilà une question souvent posée par les femmes attendant un heureux évènement. Elles ont tendance à croire que l’aquabiking peut avoir des effets néfastes sur leur santé et celle de leur enfant. Il semblerait que, bien au contraire, l’aquabiking doit être maintenue et adaptée à cette nouvelle situation.
L’aquabiking est bénéfique non seulement pour la maman mais également pour l’enfant. La maman améliore ainsi ses fonctions cardio-vasculaires, limite sa prise de poids, diminue le risque de diabète gestationnel*, d’hypertension et réduit le risque de développer des crampes musculaires et œdèmes* au niveau des membres inférieurs. Elle a également une action sur le bien-être mental. Pour l’enfant, les études montrent une diminution de la masse grasse, une amélioration de la gestion du stress et un stade de maturation plus avancé au niveau neurocomportemental.
Les conseils à suivre
Privilégiez les activités dites d’endurance comme la marche, l’aquafitness, la natation, le vélo d’appartement et bien sûre l’aquabiking plus adaptées à la future maman. Si auparavant vous pratiquiez 2 fois par semaine l’aquabiking, nul besoin de changer votre rythme. Continuer un sport que l’on a l’habitude de pratiquer pendant le grossesse est même vivement conseiller par les médecins.
Continuer l’aquabiking vous permet de conserver votre souffle et votre rythme cardio-vasculaire, ainsi que pour soulager vos problèmes de dos, tonifier vos jambes et amoindrir vos problèmes veineux.
L’entraînement de marche rapide doit suivre les recommandations des instituts de santé (ACOG et SOGC), c’est-à-dire 30 minutes par jour. Pas la peine d’aller plus vite que 5 km/h.
Un suivi mensuel par votre gynécologue, votre médecin traitant ou une sage-femme qui suit votre grossesse est ainsi indispensable pour pratiquer en toute sécurité.
Pour les femmes sédentaires souhaitant se mettre au sport, voici de petits conseils
Commencez par pratiquer l’aquabiking une fois par semaine (30 ou 45 minutes) en associant 15 minutes de marche par jour, 3 fois par semaine. Puis augmentez progressivement votre rythme de marche en allant jusqu’à 30 minutes par jour, 4 fois par semaine. Augmenter progressivement la durée, l’intensité d’effort et la fréquence des séances dans la semaine en fonction de ses sensations est essentiel au bien-être de la maman mais aussi à celui de l’enfant.
Chaque effort, même minime, est bénéfique. Alors pas de précipitation ! Parallèlement à cette bonne volonté, il est aussi très important de respecter les règles de bonne conduite du sportif :
Le matériel pouvant être utilisé
L’intensité peut être régulée par le cardiofréquencemètre étanche. Il indique la fréquence cardiaque (nombre de battements de cœur) par minute. Le tableau, ci-dessous, indique d’une manière très générale les valeurs moyennes d’entraînement en aquabiking à atteindre en fonction de l’âge. Si vous ne connaissez pas vos différentes fréquences cardiaques, servez-vous-en !
Âge fréquence cardiaque cible (Référence : « Physical Activity & Pregnancy », Sport Med. 2010)
< 20 ans : 140-155
20-29 ans : 135-150
30-39 ans : 130-145
> 40 ans : 125-140
Attention, 3 points importants !
La gymnastique, le ski, les sports de raquette et l’équitation sont des activités fortement déconseillées à cause du risque de blessure qui leur sont associées. La plongée sous marine est interdite car le fœtus n’est pas protégé contre les problèmes liés à la décompression et à l’embolie gazeuse*.
Les femmes enceintes doivent éviter les exercices de gym en position sur le dos après 16 semaines de gestation car celle-ci, provoque une compression de la veine cave inférieure* à l’origine de la diminution du retour veineux au cœur. Par conséquent plus d’exercices d’abdos assis sur la selle avec les pieds accrochés au guidon !
Il existe bien sûr, certaines contre-indications à la pratique de l’aquabiking, un col de l’utérus déjà ouvert par exemple, mais en l’absence d’un problème particulier signalé par le gynécologue, l’activité physique peut et doit être poursuivie.
Au moindre signe de faiblesse ou de fatigue au cours d’une séance, il est tout de même vivement conseiller de vous arrêter. Il n’est en effet pas question de dépasser ses limites quand on est enceinte.
Bien choisir son maillot de bain
Vous êtes partagée entre l’idée de mettre votre ventre arrondi en évidence ou pas… Dans tous les cas, vous avez le choix. Les femmes enceintes peuvent porter des maillots de bain une pièce ou deux pièces.
Les avantages du maillot de bain deux pièces
Il met en valeur votre silhouette sexy de femme enceinte. Si vous n’avez pas peur de montrer votre bidon, il existe de très jolis bikinis pour femmes enceintes. Le grand avantage : sentir le mouvement de l’eau sur votre ventre. C’est agréable pour vous comme pour le futur bébé.
Et le maillot de bain une pièce ?
Pas de regards rivés sur votre gros ventre. Avec un maillot de bain une pièce, bébé parait un peu mieux protégé. C’est aussi plus confortable pour vous : vous n’avez pas à vérifier sans cesse que votre maillot de bain est bien mis.
Des critères de choix
Si vous prévoyez de pratiquer l’aquabiking du début à la fin de votre grossesse, vous devrez peut-être acheter un nouveau maillot de bain en cours de route. Sinon, choisissez un deux pièces ou un tankini pour que votre ventre puisse s’arrondir sans gêne !
Vous cherchez un maillot de bain de grossesse pour vos séances d’aquabiking ? A ce moment-là, choisissez-le en fonction de la taille de votre ventre. Il vaut mieux prévoir plus large, vous allez forcément prendre un peu de poids au fil du temps.
De toute façon, les maillots de bain de grossesse sont extensibles. Fermes, mais extensibles. C’est prévu pour !
Ne vous infligez pas, en plus, les fines bretelles nouées dans la nuque par exemple. Les bustiers ne sont pas toujours confortables non plus, mais à vous de tester ce qui vous va le mieux.
Depuis votre grossesse, votre poitrine a pris de l’ampleur, et il faut qu’elle soit bien maintenue. C’est ça aussi, le confort. Les armatures ne sont pas toujours nécessaires, tout dépend du tissu, de la solidité et de la coupe du maillot de bain. Vous allez devoir envahir les cabines d’essayage ! Alors inutile de faire les yeux doux à votre vieux maillot de bain complètement détendu, qui a perdu toute son élasticité…
Lexique
*GESTATIONNEL : relatif à la gestation, c’est-à-dire à la période de la grossesse.
*ŒDÈMES : gonflement d’un tissu
*EMBOLIE GAZEUSE : formation de bulles de gaz dans les vaisseaux sanguins qui peuvent avoir pour conséquences des convulsions, un coma…
*VEINE CAVE INFÉRIEURE : veine qui conduit le sang de la partie inférieure du corps au cœur.
L’aquabiking pour lutter contre la graisse du ventre
Vous pourriez passer votre vie à faire des exercices qui sont censés cibler vos abdos sans tenir compte de votre tour de taille. Quelle sont donc les exercices en aquabiking les plus appropriées pour cibler cette partie du corps ?
Des chercheurs de l’Université Harvard, dont l’étude a été publiée dans Obesity, ont constaté que les hommes qui font 20 minutes de musculation par jour ont moins de graisse sur le ventre que les hommes qui font du cardio ou qui évitent complètement les salles de musculation.
Cette étude est toutefois limitée, car son échantillon est uniquement masculin. De plus, elle ne se concentre que sur la prévention et non pas sur les moyens de se débarrasser de la graisse du ventre. Il s’agit tout de même d’une bonne nouvelle si vous espérez perdre la graisse de votre ventre.
En effet, plus votre tour de taille est grand, plus vos chances d’être dans des conditions chroniques comme le diabète et les maladies cardiaques sont élevées. De ce fait, l’équipe de chercheurs a entrepris de découvrir comment les différents types d’activité physique changent le poids du corps d’une personne ainsi que son tour de taille au fil du temps.
C’est particulièrement vrai pour les personnes âgées qui, en vieillissant, ont tendance à perdre de la masse musculaire, mais à accumuler de la graisse. L’étude faite auprès de 10 500 hommes de 40 ans et plus, dont les données ont été recueillies il y a 12 ans, constatait que les hommes ayant ajouté 20 minutes de musculation par jour à leur cardio avaient moins de graisse au ventre, comparativement aux hommes qui ne soulevaient pas de poids, mais qui passaient leur temps à faire du cardio, du travail en plein air ou tout simplement des activités sédentaires.
Associer Cardio et musculation
Bien que soulever des poids est un facteur déterminant lorsqu’il s’agit de réduire son tour de taille, le principal auteur d’une nouvelle, Rania Mekary, Ph.D., a déclaré que soulever des poids et faire du cardio est la meilleure combinaison pour perdre la graisse du ventre. « S’engager dans un entraînement de résistance en le combinant, idéalement, à de l’exercice aérobique pourrait aider les personnes âgées à diminuer la graisse abdominale tout en préservant et en augmentant leur masse musculaire », a indiqué Mekary, chercheur au département de nutrition à la Harvard School of Public Health.
Soulever des poids en pédalant construit de la masse musculaire et diminue le taux de graisse dans tout le corps, ce qui par le fait même donne un coup de pouce au métabolisme (Article 1 & Article 2) et entraîne donc moins de graisse du ventre.
Aquabiking et les avis des internautes
Que pense les internautes de l’aquabiking ? Comment les pratiquants perçoivent-ils cette discipline qui prend de l’ampleur ? Découvrez les avis au sujet de cette pratique physique et sportive aquatique qu’est l’aquabiking.
Sachant que 9 internautes sur 10 recherchent l’information et consultent les avis avant d’acheter (source TNS Sofres 2012), et que 95% des internautes reviennent au sein d’un établissement si les avis y sont bien traités (source Nielsen 2013), nous vous invitons fortement à utiliser le droit de réponse dont vous disposez.
Avec « L’essentiel de l’aquabiking », vous disposez d’un droit de commentaires (DDC) qui vous permet de donner votre avis sur la pratique de l’aquabiking. Pour ce faire,Connectez-vous au site de l’essentiel de l’aquabiking » en cliquant ici et suivez la procédure ci-dessous :
Le 15 août 2010 à 15 h 12, aquarium a dit :
Bonjour, je fais de l’aquabiking depuis un an (je fais 1 à 2 cours de 3/4 d’heure par semaine avec 2 cours d’aquagym de 3/4 d’heure aussi). L’aquabiking donne encore plus de résultat que l’aquagym, tu perds pas mal de calories, on s’affine tout en s’amusant. J’ai perdu environ 7 kg et demi ainsi qu’une taille de vêtement ! Je ne pourrais plus m’en passer car je m’amuse à ces cours et je me défoule !!!!
Le 27 août 2011 à 11 h 44 , magma a dit :
Bonjour, je viens de commencer l’aquabiking hier, dur, dur, je suis rouillé ! mais c’est trop génial de se retrouver dans l’eau, allé c’est parti pour 20 séances !!
Le 27 octobre 2011 à 15 h 23, quirion a dit :
Franchement c’est efficace ! Il faut se donner à fond, le faire 2 à 3 fois par semaine. C’est idéal on a la sensation d’avoir des jambes toutes légères en sortant et l’avantage de l’eau zéro courbatures. Pas de traumatisme, de chocs cependant avant toute activité physique il faut l’avis d’un médecin. a compléter pour arriver à 45 mn de cardio-training et puiser dans nos réserves de graisses !! Par exemple un peu de rameur 20 mn et hop dans la piscine ! ensuite il faut se donner le temps de pratiquer régulièrement pour voir les bénéfices et là sur la micro-circulation les vaisseaux sanguins c’est stimulant et ça réduit la cellulite ! C’est un peu cher mais ça vaut l’investissement.
Le 22 mai 2012 à 20 h 16, caroline a dit :
Je me suis mise à l’aquabiking il y a deux semaines de ça.
Mis à part le prix (à rajouter au forfait déjà existant … 120€ les 20 séances vu que je suis membre), et l’obligation d’appeler à chaque fois la veille pour la réservation du lendemain (j’ai appelé ce matin à 8h53 et il n’y avait déjà plus aucune dispo ! ), je trouve l’aquabiking TIP TOP.
D’une, on se défoule et tout en douceur, ayant mal au genou je peux faire du cardio à fond sans aucun problème d’articulation le lendemain!
Ensuite, l’effort dans l’eau est triplé et le mouvement fait que la cellulite : pfiou ! elle s’en va plus facilement
Bref que du bonheur !
Le 05 juin 2012 à 10 h 55, nono a dit :
Moi j’aime bien, parce qu’au contraire de la natation t’as pas besoin de savoir plus ou moins bien nager.. là tu pédales dans l’eau, tout le monde sait le faire, on est au même niveau !
Le 24 septembre 2012 à 22 h 30, ainvittel a dit :
Je pratique l’aquabiking en salle de sport, deux fois par semaine voire trois parfois , c’est un sport sympa où il n’y a pas de problème d’articulations et pas de problème de pesanteur dans l’eau.
Niveaux bienfaits, moi il ne m’a pas fait maigrir car j’en ai pas besoin, mais ça modèle bien les fessiers et donne une belle allure on va dire , mais ça fait maigrir si besoin, après un mois tu commences à voir les résultats.
Le 25 septembre 2012 à 19 h 57, nora a dit :
J’en ai fait avant d’être enceinte et c’est super.
Tu te donnes à fond mais tu sens moins les courbatures car évidemment dans l’eau c’est plus doux.
Je confirme ce qui a été dit, ça affine la silhouette mais je ne pense pas que ça fasse maigrir à proprement parler.
Le 17 novembre 2012 à 16 h 15, geneviève a dit :
Super ! C’est ludique et efficace pour se muscler aussi bien le haut que le bas du corps. Moi, j’ai un coach formidable. La musique est de la partie et ces 45mn de sport est un vrai plaisir car pas trop de sollicitation dans l’eau tout en étant intensif.
Le 17 novembre 2012 à 17 h 01, al a dit :
J’adore ! J’y vais deux à trois fois par semaine. Les exercices sont multiples et avec certains profs on travaille aussi les bras. C’est bon pour le cœur, le haut et bas du corps, les abdos aussi, bref, un sport complet qui en + atténue la cellulite! Je recommande à tlm !
Le 17 novembre 2012 à 17 h 54, sandy a dit :
Je fais de l’aquabiking depuis qq mois, c’est excellent pour la circulation sanguine, véritable massage lymphatique, et génial pour tonifier les muscles en profondeur. En plus, l’avantage est de ne pas avoir de courbatures !
Le 17 novembre 2012 à 20 h 55, carine a dit :
Bonjour,
je pratique l’aquabiking depuis 6 mois et j’adore ! bon pour le cœur et pour les cuisses : c’est génial ! mais surtout ne pas oublier sa bouteille d’eau car sinon attention au crampes . Foncez ,vous ne serez pas déçue
Pour les débuts, faites des séances de 30 mn et si ça va, passez a 45 mn . c’est que du bonheur !
Le 23 janvier 2013 à 12 h 20, sandrine a dit :
Franchement c’est génial ! ça raffermie les muscles et ça améliore également votre cardio, je conseille complètement cette méthode 🙂
Le 05 avril 2013 à 17 h 59, looping a dit :
Déjà c’est du cardio , ça muscle doublement grâce à la résistance de l’eau et pendant que tu bouges l’eau te masse donc je pense que s’il y a bien un sport qui est efficace c’est celui la il est complet.
Le 06 avril 2013 à 13 h 32, basaba a dit :
Bonjour,
J’en fais une fois par semaine depuis 6 mois environ.
Honnêtement, je n’ai pas remarqué d’effet direct. Il faudrait pratiquer plusieurs fois par semaine, pour ça.
Mais c’est sympa, et ça fait travailler partout.
Moi, ça me convient bien.
Le 11 juin 2013 à 9 h 21 min, Mél.b a dit :
Bonjour,
Je viens de tester l’aquabiking hier midi, et j’en suis ravie, un peu physique, on transpire, les muscles des cuisses sont au boulot ! un vrai régal pour celle qui aime l’eau et le sport en mode détente !! Je le recommande… pour les effets sur ma silhouette je vais attendre quelques semaines pour voir les résultats.
Le 14 octobre 2013 à 10 h 39 min, charlotte a dit :
Bonjour, j’ai commencer il y a 2 semaines et je sens déjà que je change physiquement.
De plus je fais un métier ou je suis debout donc j’ai les jambes qui gonfle et là elles gonfles moins , je suis contente , même si je paye cher .Je complète avec une crème anti-cellulite et un régime et résultat -3 kilos en 2 semaines.
Jetez vous à l’eau !!!!!!!
Le 13 janvier 2014 à 22 h 27 min, cmoi a dit :
Avez vous pensé a mesurer vos cuisses avant de commencer l’aquabiking ?? Il n y a que de cette façon que l on se rend compte des effets, personnellement j avais un tour de cuisses de 51 cm en 1 mois a raison de 2 séances semaine 46 cm soit 5 cm de moins … donc oui résultat pour ma part …. l’impression que ma peau est plus lisse… je n ai pas perdu de poids mais ce n était pas mon but.
Le 13 janvier 2014 à 12 h 47 min, anita a dit :
Il y en a un nouveau à cote de chez moi donc je suis tombée dessus par hasard. je suis rentrée pour voir et je suis repassée le lendemain pour essayer une séance.
Alors j’ai adoré ce sport et le centre est vraiment beau. C’était un cours de 45 mn avec un coach! et après le cours on a accès au sauna! c’était pro et propre -)
Ils sont ouverts le dimanche! Donc comme le dimanche je sais jamais si j’ai envie de faire qq chose ou pas … je me suis dit Allez sport mais dans l’eau dc sympa et après je me relaxe au sauna. bonne combinaison 🙂 Donc le dimanche je me mets à l’aquabiking.
Le 21 janvier 2014 à 19 h 11 min, ama a dit :
Je fais de l’aquabiking depuis 10 jours et je suis déjà étonnée des résultats. Peau plus lisse, plus ferme, fesses gommées et plus galbées. Zéro courbature, bras raffermis. Petit effet sur le ventre mais j’y vais 2 à 4 fois par semaine. Super contente, à faire d’urgence.
Le 27 janvier 2014 à 09 h 43 min, julie a dit :
Inscrite depuis 1 mois. J’y vais 2X /semaine depuis 1 mois les effets commencent à apparaître ! – de peau d’orange et ça fait du bien au corps!
J’ai un problème au genou ms les cours sont faits par des coachs et ils adaptent les mouvements.
Le 6 février 2014 à 21 h 47 min, Leveque Nataf a dit :
Depuis 1 mois et demi , je me suis mise a l’aquabiking et je suis enchantée . A la fin du cours une sensation de bien être extraordinaire et de légèreté . A ma grande surprise on travaille autant les muscles des bras que ceux des jambes. Je n’ai pas perdu un gramme , mais mes pantalons flottent un peu !
Le 23 février 2014 à 12 h 39 min, célinette a dit :
Moi je ne jure plus que par l’aquabiking, pour moi c’est le sport à pratiquer si on veut perdre du poids et se sculpter aux bons endroits (adbos, cuisses, fesses). c’est vrai qu’avant il n’y avait pas beaucoup de centres qui en proposait, mais en ce moment ça bouge pas mal et certains centres font leur apparition. J’habite dans l’est de paris et j’ai découvert un tout nouveau centre qui propose des séances d’aquabiking coaché de 45 min avec une séance de sauna à la fin. j’ai prix un abonnement chez eux et je ne regrette pas. c’est vraiment un sport à essayer.
Le 7 mars 2014 à 11 h 56 min, lucienne a dit :
Bonjour à tous,
Je suis retraitée et, sur les conseils de ma belle fille, je me suis mise à l’aquabiking.
Je trouve ce sport formidable car il permet de rester en forme sans risquer de se faire mal. Les cours durent 45 minutes et sont assurés par un professeur, ce qui est vraiment motivant. J’ai été agréablement surprise par la mixité. Certes il y a beaucoup de jeunes (et c’est bien normal) mais il y a aussi des personnes de mon âge.
Le 11 avril 2014 à 12 h 01 min, marie b a dit :
J’ai commencé l’aquabiking il y a 3 mois et je vois déjà les résultats. J’ai perdu au niveau du ventre et des cuisses. Le top c’est que je n’ai jamais de courbatures !
Le 27 avril 2014 à 10 h 17 min, amrose a dit :
Je fais de l’aquabiking depuis trois mois et je ne peux plus m’en passer. Les bienfaits sont multiples surtout que notre animateur est très sympa et nous fais également travailler les muscles des bras. Un sport qui va vous donner de très belles jambes et des fesses bien fermes et pour celles qui ont de la cellulites c’est très efficace. Résultat : un corps ferme et vous allez vous refaire une santé…..
Le 02 mai 2014 à 11 h 56 min, talia a dit :
Moi aussi je fais de l’aquabiking depuis quelques mois et je suis complètement addict. Ça fait trop bien travailler les jambes et les abdos. En plus dans le centre où je vais il y a vraiment une bonne ambiance. On n’est pas trop nombreuses et le coach a le temps de s’occuper de chacun.
Le 21 mai 2014 à 14 h 19 min, cp a dit :
Un nouveau centre aquatique s’est ouvert près de chez moi et j’ai commencé l’aquavélo il y a 15 jours en alternant avec l’aquafitness : j’essaie de me fixer au moins 3 séances par semaine (c’est assez facile point de vue horaires parce que le centre propose de nombreux créneaux de 9H00 à 21H00 en semaine et 9H00-13H00 le samedi). La réservation des séances se fait par internet, c’est pratique, on voit le nombre de places restantes. Le prix est correct par rapport à certains autres centres : entre 11 et 18 euros la séance selon la formule choisie. Mon avis pour le moment : un gain en fermeté, pas de courbatures mais on sent bien que les muscles ont travaillé (aïe aïe les quadriceps quand on est debout sur le vélo), des effets sur la circulation sanguine : moins de lourdeurs et donc moins de douleurs dans les jambes. J’apprécie le rythme des séances : pendant 45 min, on bouge non stop, en musique, c’est dynamique. J’espère pouvoir venir donner un avis positif sur la perte de cm et de cellulite dans quelques mois…
Le 23 mai 2014 à 21 h 43 min, lolita a dit :
Cela fait plus d’un an que je pratique l’aquabiking régulièrement (3 fois par semaine). Dans la salle ou je suis adhérente, les séances durent 45min. Il y a deux professeurs, un qui est plus basé Cardio et l’autre plus renforcement musculaire. J’aime faire des cours avec les deux, c’est plus complet. Niveau douleur, je confirme : Aucune douleur le lendemain !! Mise à part peut être quand la séance d’abdominaux est intense !!
Côté peau, la cellulite qui était basée sur mes cuisses a quasiment disparu en totalité.
Adorant faire du vélo et l’eau, ça a été pour moi un compromis génial !! Ça m’a permit de renouer avec le sport et surtout d’aimer cela.
Je recommande 😉
Le 6 juin 2014 à 10 h 57 min, kat a dit :
Je valide l’aquabiking à 100%, c’est la première fois que je fais un sport à aussi haute fréquence (2 à 3 fois par semaine) sans ressentir aucune douleur.
Niveau résultats, je dois dire que c’est assez impressionnant, peau plus lisse, cuisse plus ferme, le résultat est là.
Je préfère les cours coachés qui sont plus efficaces que les cours en cabine individuelle.
Le 26 juin 2014 à 16 h 21 min, so a dit :
J’ai commencé il y a 3 mois un peu sur la dilettante par une séance d’une 1/2h par semaine, puis 2 à la suite. Je suis passée à 3 puis 4 (en 2x 1h par semaine) depuis un mois.
Au début, la cardio m’achevait rapidement (trop peu de sport ces dernières années), mais l’eau reste facilitatrice, et l’on tient ce que jamais on ne pourrait faire sur la terre ferme.
Pas de courbature, amélioration du souffle, de la circulation, peau qui se lisse doucement mais sûrement! Certes mes fortes cuisses n’ont pas encore fondu, et ma culotte de cheval est toujours là, mais il y a réellement une évolution physique, confirmée par mon « exigeant » de mari! rires… Bref, c’est bon au corps et au moral, et je pense que sur la durée, ça fonctionne !
Le 28 juillet 2014 à 10 h 41 min, fanny a dit :
Je confirme que l’aquabiking ça marche trop bien. j’ai perdu 5 kilos en 5 mois grâce à l’aquabiking et depuis je les ai pas repris. je continue l’aquabiking, j’en fais 2 fois par semaines, par contre j’ai arrêté mon régime. C’est le sport le plus efficace que j’ai jamais fait (et j’ai testé plein de trucs).
Le 04 août 2014 à 17 h 27 min, marie a dit :
J’y suis venue suite à un mal de dos après un déplacement disque/vertèbre.
A raison d’une fois par semaine en club sur Lyon 3, en 3 mois mon ostéo ne reconnaissait pas mon dos !
Des abdos en plus, une taille affinée, des cuisses et fesses musclées (pas de perte de volume non plus mais plus fière allure!), et moins de cellulite.
C’est un sport parfait, mais cela dépend aussi des profs (j’adore mon coach!).
Le 14 novembre 2014 à 15 h 07 min, tot a dit :
L’aquabiking c’est super, j’y vais depuis 2013. Dommage que je ne puisse y aller plus d’une fois par semaine.
Le 12 janvier 2015 à 18 h 39 min, odil a dit :
Rien de mieux pour reprendre le sport après une grossesse ou arrêt de sport de longue durée.
On fait de l’effort sans souffrir, on progresse vite, j’ai perdu 4kg en 6 semaines sans rien changer à côté (pas de régime, pas de produits amincissants..). Pour la cellulite les premiers résultats apparaissent dès 1 mois ( rythme : 1 séance/semaine de 3/4 d’heure). Bref à adopter pour tous !
Le 5 février 2015 à 20 h 37 min, isabelle a dit :
Moi j’en fait !!! J’adore et c’est la première fois que je transpire dans l’eau !!
Le 13 février 2015 à 08 h 31 min, samantha a dit :
L’aquabiking m’a permis de perdre du poids plus facilement qu’avec un simple régime. Et annihiler la cellulite ! Je suis mieux dans mon corps et dans ma tête. Quand je sors d’une séance coachée je me sens revigorée alors que je suis épuisée, c’est un étrange sentiment. Et puis les sports d’eau laissent l’impression que le corps continue de travailler après la séance. Est ce juste une impression ? Je suis vraiment contente de m’être lancée…
Le 20 février 2015 à 09 h 37 min, lafita a dit :
Je suis enceinte de 7 mois et je pratique l’aquabiking ! Ce n’est pas du tout contre indiqué, au contraire je pense…. Les mouvements sont adéquates ! C’est mon kiné qui m’en a parlé car il va dans ce même centre.
La musculation, le complément de l’aquabiking
La musculation pour être belle ! Oui mais pas seulement, associée à l’aquacycling, elle soulage aussi vos articulations et entraîne votre cœur !
Vous savez que les instituts de prévention vous invitent à faire fonctionner votre cœur. Ils vous proposent de marcher 30 minutes par jour ou bien de trottiner 3 fois 20 minutes chaque semaine. Désormais, ils vous suggèrent d’y associer 2 séances de renforcement musculaire hebdomadaires.
Plus musclé, moins douloureux !
Quand vos muscles sont plus forts, plus endurants et mieux coordonnés, ils mobilisent plus harmonieusement vos articulations et votre colonne vertébrale tout au long de la journée. Les contraintes mécaniques sur les cartilages et les disques diminuent et vous souffrez moins !
Vous savez bien que le renforcement musculaire est un vrai traitement ! Les kinésithérapeutes l’utilisent systématiquement pour vous aider à récupérer après un traumatisme ! En cas de douleur chronique, ils peuvent aussi vous enseigner les bons exercices. Mais rapidement, pour plus de plaisir, vous devenez autonome !
C’est démontré, la musculation participe à la prise en charge des douleurs vertébrales ; celles du haut entre les omoplates ou celles du bas juste au dessus du bassin !
Elle aide au soulagement des douleurs de genoux, notamment celle situées en avant, au niveau de la rotule.
Plus musclé, moins gras !
Le muscle est un tissu très actif. Pour son entretien, sa réparation après l’effort et sa croissance, il s’y produit énormément de synthèse en protéines. Son état de contraction basal assure le maintien de notre température corporelle.
Le muscle est en grande partie responsable de notre dépense énergétique de repos, on parle de « métabolisme basal ». Plus vous êtes musclé, plus vous consommez de calories à ne rien faire … juste à entretenir votre masse musculaire !
On dit que les sports d’endurance brûlent de l’énergie pendant l’entraînement alors que la musculation consomme des calories entre les séances !
Les hommes ont le droit de manger un peu plus que les femmes car la nature les a pourvus d’une masse musculaire légèrement supérieure. Madame, après votre régime, vous avez repris plus de poids que vous n’en avez perdu car vous avez perdu des muscles !
Dès que vous limitez votre apport alimentaire pour mincir, si vous souhaitez garder la ligne, il est indispensable de faire de la musculation pour préserver votre masse musculaire et votre dépense énergétique de repos.
Plus musclé, plus jeune !
Le vieillissement se caractérise par une perte insidieuse de muscle. Cette érosion commence dès l’âge de 30 ans ! Elle s’accélère vers 40 ans pour atteindre 1,5% par an.
Dès que les hormones, assurant l’entretien musculaire, commencent à faire défaut, les petits ventres apparaissent, le moindre écart alimentaire se paie comptant et des douleurs articulaires se manifestent.
A 80 ans, 30% de votre masse musculaire aura disparu et de la graisse l’aura remplacé !
La musculation associée à l’aquabiking peut vous aider à freiner efficacement cette érosion ! Les études montrent qu’il n’est jamais trop tard pour reprendre de la masse musculaire et de la force ! Les quadras retrouvent des muscles plus volumineux et plus efficaces, les personnes âgées institutionnalisées renouent avec des aptitudes fonctionnelles améliorant considérablement leur mode de vie.
Calculez votre IMC
L’Indice de Masse Corporelle (IMC) est une grandeur qui permet d’estimer la corpulence d’une personne. Cet indice se calcule en fonction de la taille et de la masse.
L’Organisation mondiale de la santé a défini en 1997 cet indice de masse corporelle comme le standard pour évaluer les risques liés au surpoids chez l’adulte. Il a également défini des intervalles standards (maigreur, indice normal, surpoids, obésité) en se basant sur la relation constatée statistiquement entre l’IMC et le taux de mortalité.
Cet indice est surtout utile pour mettre en évidence l’augmentation des facteurs de risques. Il n’a pas vocation à déterminer précisément la valeur de la masse grasse et encore moins de la masse musculaire et osseuse.
L’IMC est corrélé avec une hausse de la mortalité toutes causes confondues pour la très grande obésité (à partir d’un IMC de 35), avec une hausse des décès dus aux maladies cardio-vasculaires, aux cancers, au diabète, aux accidents. En 2013, une méta-analyse de 97 études couvrant 3 millions d’individus dans le monde et 270 000 décès, montre que le taux de mortalité des individus en léger surpoids (IMC de 25 à 30) est 6 % moindre que ceux pesant un poids normal, celui des individus souffrant d’une obésité modérée (IMC entre 30 et 35) est 5 % plus bas et celui des obèses (IMC > 35) augmente de 29 % comparativement aux sujets normaux. Plusieurs hypothèses sont proposées pour expliquer ces contrastes : les personnes en surpoids sont mieux suivies par leurs médecins qui peuvent ainsi plus facilement prévenir et traiter leurs maladies ; les excès de tissus adipeux fourniraient des réserves d’énergie aidant à lutter contre certaines maladies.
Prenons mon corps en exemple, je mesure 1,64 cm et mon poids est de 55 kg :
IMC = 55 /1,642 = 55/2,6896 = 20,45
Il est important de garder à l’esprit que l’IMC n’est qu’un indicateur, non pas une donnée absolue. Du fait de leur masse musculaire, certains sportifs ont un indice de masse corporelle supérieur à 25 kg/m2, sans qu’ils n’encourent de danger. De plus, selon la morphologie d’une personne, son IMC de bonne forme varie. Une personne peut être trapue sans être grasse (par exemple Bixente Lizarazu, Mike Tyson ou Jonah Lomu), et une autre peut être longiligne mais avoir une masse graisseuse trop importante.
Par ailleurs, il faut garder à l’esprit les limites des seuils recommandés par l’OMS. S’ils sont pratiques à utiliser, ces seuils devraient idéalement varier selon le sexe, l’âge et l’origine ethniqueet ces derniers ne doivent s’appliquer qu’avec prudence au diagnostic individuel.
L’interprétation de l’impact de l’IMC sur le risque de mortalité est donc à nuancer car il ne prend en compte ni le sexe, ni l’âge, ni la répartition des graisses dans le corps (les graisses localisées au niveau de l’abdomen sont celles qui ont le plus d’impact sur la santé et la forme physique de l’individu).
Le jugement de son poids au moyen de l’indice de masse grasse doit donc se faire avec l’aide d’un médecin et la consultation d’un médecin nutritionniste ou d’un diététicien diplômé est recommandée.
Un cœur prêt pour le quotidien !
Un programme de renforcement musculaire progressif adapte votre système cardiovasculaire aux contraintes inhérentes au travail de force.
Quand un muscle se contracte, il écrase les vaisseaux qui le traversent. Le cœur doit pousser plus fort. Si vous abusez de ce type d’entraînement, il est possible de développer une hypertension artérielle. Voilà pourquoi, la musculation traditionnelle n’a pas toujours bonne réputation auprès des cardiologues !
En revanche, si vous pratiquez progressivement et modérément, vous vous préparez sans hypocrisie aux contraintes d’une vie quotidienne normale ! Vous portez plus facilement vos bagages, vous déplacez plus aisément une commode et vous parvenez à pousser la voiture en panne !
La musculation traditionnelle, c’est bien !
Les institutions de prévention proposent de réaliser à chaque séance, une dizaine d’exercices différents de 10 à 15 répétitions. En musculation traditionnelle, on précise souvent que la charge doit être suffisamment lourde pour que la dernière répétition soit incomplète. Il est d’usage d’y effectuer plusieurs séries de chaque mouvement pour atteindre la fatigue maximum. Elle se révèle très efficace pour entretenir la force et la masse musculaire.
La musculation endurance, c’est mieux !
Le bon compromis entre efficacité et tolérance cardiovasculaire, c’est la «musculation endurance» !
Enchaînez des séries de 30 à 40 répétitions, en mobilisant des charges suffisamment légères pour avoir l’impression de pouvoir réaliser 5 à 10 mouvements supplémentaires. Ne faites pas de pause entre les séries mais changez d’exercice.
Classiquement, alternez :
En salle, n’hésitez pas à utiliser tous les appareils à charges guidées à votre disposition. Vous obtenez un travail équilibré de tous les groupes musculaires tout en limitant les contraintes articulaires.
Ce «parcours de musculation» constitue un véritable «jogging musculaire». L’alternance de contractions modérées et de relâchement pompe le sang vers les muscles. Les vaisseaux s’ouvrent et votre cœur est sollicité en douceur. La tension artérielle reste raisonnable !
Par Stéphane CASCUA, médecin et nutritionniste du sport
Transpirer avec l’aquabiking
Pendant mes sorties vélo sur route, à force de transpirer, il m’est arrivé parfois de souhaiter être dans une piscine. D’une part, parce que la sueur coulant le long de mon dos est moins perceptible dans l’eau et d’autre part parce qu’il est plus facile de s’attribuer une pause ou du moins ralentir lorsque l’on ne peux pas voir la cadence de mes jambes en dessous de la surface de l’eau.
L’étude présenté au CCSC
Une étude Canadienne datant de 2012, présenté au Congrès Canadien sur la Santé Cardiovasculaire (CCSC), suggère qu’il pourrait également y avoir d’autres, très importantes, avantages à l’hydro-massage.
L’étude a analysé des données cardiovasculaires sur 33 participants en bonne santé, qui ont effectué le même entraînement sur un vélo stationnaire en dehors de l’eau et un autre sur un vélo stationnaire dans l’eau (aquabike).
Rappelons qu’un aquabike est un vélo stationnaire aquatique posé au font d’une piscine afin que l’aquabikeur(euse) puisse être immergé jusqu’à la poitrine. Selon les modèles, une résistance peut être ajouté en changeant la taille des pédales ou bien en manipulant une molette de serrage permettant un pédalage plus difficile.
Les chercheurs Canadien ont constaté lors de cette étude scientifique que la consommation d’oxygène des participants et la fréquence cardiaque moyenne de ceux-ci étaient plus faible en pédalant dans l’eau. En d’autres thermes, leurs systèmes cardiovasculaire travaillaient plus efficacement en faisant les mêmes quantités d’exercices similaires.
L’auteur de l’étude, le Dr Martin Jumeau, est directeur de la prévention à l’Institut de Cardiologie de Monréal, au Canada. Le centre EPIC, dans cette institut, propose des séances de remise en forme « Aquabiking coaché » et met également à disposition ce matériel lors des ouvertures au public.
A l’origine de l’aquabiking
Rappelons que l’aquabiking a été créé à l’origine pour la réhabilitation des blessures du genou chez les athlètes. Mais parce que l’eau nous porte et nous met dans une situation d’apesanteur, l’aquabiking est également utilisé pour les patients en situation de surpoids ou bien soufrant d’arthrite qui veulent des séances d’entraînements à faible impact.
La plupart de mes pratiquants(tes) aiment cette activité, ils pensent que c’est plus facile. Lorsque vous regardez l’augmentation de la capacité aérobique de cette activité aquatique, vous constaté que c’est tout aussi bon que du cyclisme terrestre.
Les chercheurs pensent que la pression hydrostatique (ou la pression de l’eau) sur le corps rend plus facile le retour sanguin vers le cœur. Cela réduit le nombre de fois où votre cœur doit battre, d’où l’abaissement de la fréquence cardiaque moyenne et la quantité d’oxygène nécessaire pour soutenir un entraînement intense.
Mon avis
Cette étude doit être dupliqué avec plus de participant pour confirmer les résultats du Dr Jumeau. Des recherches supplémentaires sont également nécessaire pour voir si les effets sont les mêmes pour les personnes âgées et/ou en surpoids.
Booster votre intelligence grâce à l’aquabiking
Certains intellos pensent que l’aquabikeur(euse) n’est pas très malin et qu’il a remplacé son cerveau par des muscles. Des études récentes inversent l’idée reçue ! L’essentiel de l’aquabiking vous explique pourquoi et vous donne des pistes pour muscler votre cerveau et booster votre intelligence !
Elle se mesure en analysant la pertinence et la rapidité d’une réaction. Elle s’évalue devant l’adaptation et la planification d’une réponse face à une information nouvelle. La justesse de l’action programmée dépend bien sûr de la bonne intégration de ces éléments récents, c’est la mémoire de travail.
Ces derniers viennent modifier les comportements automatisés appelés « mémoire procédurale ». Pour se bonifier, cette réaction passe par le filtre des connaissances théoriques : on parle de « mémoire explicite » car elle pourrait « s’expliquer » de façon rationnelle. C’est une réflexion.
La réponse est aussi – peut-être même surtout – modulée par la mémoire implicite, ces acquis inconscients issus de nos expériences émotionnelles. Ce processus neurologique est parfois appelé « intuition » !
La zone antérieure du cerveau, le cortex préfrontal, est le siège de l’intelligence, c’est lui qui synthétise toutes ces données et élabore la réponse. En profondeur, une structure en corne appelée « hippocampe » assure la navette entre ce secteur cérébral et les aires associatives où sont stockés, reliés, conceptualisés tous nos acquis. L’hippocampe transforme ainsi l’information en mémoire et en connaissance, puis en souvenir et en expérience !
L’aquabiking… une école d’intelligence !
L’aquabiking sollicite tous les mécanismes neurologiques de l’intelligence. Pour utiliser au mieux l’aquabike on sollicite sa mémoire de travail. On intègre très rapidement l’emplacement des autres pratiquants et du coach. On va moduler ses automatismes gestuels, sa mémoire procédurale. On met à contribution sa mémoire explicite, on réfléchit à toute vitesse et se remémore les consignes des séances précédentes. On recherche dans sa culture aquabiking les éléments pertinents concernant la pratique qu’on connaît bien. On sollicite sa mémoire implicite.
Les sports, comme l’aquabiking, imposant une réaction rapide face à une multitude d’informations sont aussi des entraînements à l’intelligence. Les réseaux neuronaux sollicités sont les mêmes que ceux utilisés par le manager qui doit répondre à la question déstabilisante d’un gros client lors de la présentation d’un projet. Il module ses arguments habituels issus de la culture de sa propre entreprise. Il adapte sa réponse aux contraintes économiques de son acheteur. Il cherche dans sa mémoire implicite les éléments permettant de mieux réagir face à la psychologie de cet individu.
C’est démontré !
KISOU KUBOTA de l’université de Nihon Fukushi à Handa au Japon a réalisé une expérience significative. Il a effectué un test d’intelligence au 14 individus inactifs. Sept d’entre eux sont restés sédentaires, les autres ont couru 3 fois par semaine pendant 3 mois. à l’issue, les sportifs avaient significativement amélioré le nombre de bonnes réponses et réduit le temps consacré à la réflexion. Les résultats retrouvaient leurs valeurs initiales quand ils cessaient de pratiquer le jogging. KRAMER a réuni 120 personnes de 55 à 80 ans. La première moitié débutait un protocole d’étirements, la seconde commençait un programme de marche active ou de course. En 1 an, le groupe « stretching » voyait le volume de son hippocampe diminuer de 1 à 2 % comme tous les sédentaires. Chez les sujets bénéficiant de l’entraînement cardiovasculaire, la taille de cette structure essentielle à la mémorisation avait augmenté de 2 % !
MARK DAVIS en Caroline du Sud aux États-Unis étudie les mitochondries des neurones. Ces petits éléments sont spécialisés dans la production d’énergie cellulaire en présence d’oxygène. Il a constaté qu’elles étaient plus nombreuses chez les souris courant sur tapis !
Comment ça marche ?
Vous aviez bien admis le transfert de performance entre la gestion d’un comportement sportif complexe et l’élaboration d’une stratégie intellectuelle. Mais comment un geste sportif aussi simple que le pédalage peut-il améliorer votre réflexion et votre mémoire ? Les explications sont multiples et complémentaires !
La pratique sportive régulière limite les maladies cardiovasculaires. Les artères et les petits capillaires du cerveau sont en meilleur état. Le risque de dégradation cérébrale est réduit, la probabilité de maladie d’Alzheimer diminue !
Pendant l’effort aussi, votre cerveau bénéficie d’un débit élevé de sang bien oxygéné. Il peut produire plus d’énergie. Pour programmer un geste répétitif votre système nerveux s’active. Il sécrète des facteurs de croissance et de multiplication des neurones, notamment le N.G.F. ou nervous growth factor.
L’aquabiking impose la production de messagers chimiques stimulants, particulièrement l’adrénaline et toute sa famille appelée « catécholamine ». Ces substances sont aussi celles de la vigilance et de l’éveil cérébral. Lorsqu’un effort répétitif se prolonge, votre cerveau sécrète des endorphines, de puissants antidouleurs sources de bien-être !
Vous gagnez en sérénité et les situations complexes se décantent. Désinhibé, votre esprit vagabonde. Les « aires associatives » de votre cerveau se connectent plus aisément entre elles… et favorisent les associations d’idées. Vous êtes plus créatif ! Comme par hasard, vous mettez au point un concept ingénieux. Parfois même, vous faites une découverte ! On parle de « sérendipité ». De façon plus comportementale, la pratique de l’aquabiking régulière constitue une « véritable école d’organisation ». Les études sociologiques montrent que ceux qui font le plus de sport sont également ceux qui font le plus d’activités culturelles… on parle d’ « effet cumulatif » ! Ce sont aussi ceux qui regardent le moins la télévision : ça aussi, c’est bon pour le cerveau !
Quels sports complémentaire à l’aquabiking pour booster votre intelligence ?
Optez pour un programme sportif proposant des stimulations cérébrales complémentaires. Une part de ces acquis est transférable dans votre vie quotidienne, sociale et professionnelle. Malgré un geste simple et répétitif, les sports d’endurance activent, oxygènent et entretiennent les neurones.
Bien sûr, si vous y ajoutez la gestion de vos séances d’entraînement ou d’une stratégie compétitive les effets sont décuplés.
Complétez avec des activités mixtes imposant des mouvements plus complexes, vous mettrez à contribution plus largement votre cerveau. Le fitness chorégraphique, la danse voire le golf sont de bons exemples. On parle de « coordination fermée » lorsque le mouvement ne dépend que de vous.
Enfin, n’omettez pas une dose de disciplines nécessitant la prise rapide d’informations variables et la programmation d’une réaction dépendant de nombreux paramètres. Il s’agit cette fois de « coordination ouverte » lorsque votre geste varie en fonction d’un adversaire. Le tennis et le squash sont caractéristiques. Le foot, le rugby et les autres sports collectifs démultiplient les données à traiter et incluent la prise en compte psychologique des interactions sociales au sein d’un groupe.
Par le docteur CASCUA, médecin du sport et le docteur CHERMANN, neurologue.
Après l’aquabiking, la relaxation pour mieux récupérer
La relaxation est connue pour apaiser le stress. Elle se montre aussi très efficace pour récupérer après vos séances d’aquabiking. Alors, demandez à votre corps de se calmer en agissant sur votre respiration et sur vos muscles !
Pendant l’effort en aquabiking, l’adrénaline augmente dans le sang. Elle a pour mission d’accélérer la fréquence cardiaque et la respiration. Elle libère les réserves d’énergie, le sucre et la graisse. Elle accroît la vigilance et le tonus musculaire pour dynamiser vos réactions. Après l’exercice, pour améliorer votre récupération, il est opportun que l’ensemble de ces paramètres retrouvent leurs valeurs de repos. La relaxation peut vous aider !
Modulez vos instincts !
Heureusement pour notre charge mentale, notre « vie végétative » assure le fonctionnement de bon nombre des activités de notre organisme. Ces dernières sont gérées sans l’influence de notre conscience ou de notre volonté. Il s’agit particulièrement du rythme cardiaque, de la tension artérielle, la respiration, la digestion, le tonus musculaire de la posture. Deux d’entre elles font exception et peuvent être aussi modulées par notre volonté. Il s’agit de la respiration et de la contraction des muscles. Vous ne pouvez pas demander à votre cœur de ralentir ou à votre digestion de s’accélérer. En revanche, il vous est possible de modifier votre rythme respiratoire ou de contracter vos muscles. Ce sont sur ces paramètres que vous allez agir pour mieux récupérer !
Cet apaisement se révèle particulièrement bénéfique après les entraînements d’aquabiking du soir, quand l’excitation physiologique de l’effort peut perturber l’endormissement.
Retour au calme avant relaxation.
Avant d’influencer de façon consciente et volontaire votre récupération, faites confiance à votre instinct ! Terminez votre activité en réduisant peu à peu l’intensité de votre effort. Optez pour un « retour au calme » de 5 à 10 min. Dans un premier temps, votre cœur et votre respiration continuent à être sollicités pour amener plus de sang bien oxygéné à vos muscles. Vous payez votre dette. Peu de temps après, ils ralentissent à leur tour. Vous allez pouvoir les y aider grâce à la relaxation. Tout au long de ce retour au calme, reprenez contact avec votre corps en mouvement, sans le chahuter, sans le houspiller. Retrouvez un geste harmonieux, soignez le relâchement. C’est le début de la décontraction musculaire ! La relaxation peaufinera la démarche.
Respirez, vous êtes relaxé
Prenez conscience de votre respiration spontanée. Elle est encore un peu rapide. Peu à peu, assurez plus de contrôle volontaire. Inspirez profondément et lentement. Sentez l’air frais pénétrer vos narines et franchir votre gorge. Percevez votre ventre se gonfler.
En fait, il arrive que notre instinct nous trompe. Une respiration rapide et superficielle ventile surtout le nez, la gorge et les bronches, pas suffisamment les alvéoles. Une respiration calme et profonde brasse un plus grand volume d’air. De fait, une plus grosse proportion gagne l’extrémité des poumons où se font les échanges gazeux. Votre sang est beaucoup mieux oxygéné. Vous récupérez mieux ! De plus, vous réduisez le travail des muscles respiratoires qui à eux seuls consomment une part non-négligeable de l’énergie en phase de récupération. Expirez lentement et complètement. Le début de l’expiration est surtout « passif ». La cage thoracique tendue par l’air accumulé se rétracte sans intervention des muscles comme un ballon qui se dégonfle. Achevez l’évacuation en rentrant le ventre. Poussé par le tube digestif, le diaphragme, le muscle situé entre la cavité abdominale et le thorax, remonte vers les poumons. Il pousse l’air vers l’extérieur, à la manière d’un gros piston.
Rythmez votre cœur
Une expiration lente et profonde active les nerfs « parasympathiques ». Ces derniers libèrent l’acétylcholine qui freine le cœur. C’est le système nerveux de la récupération et du calme. Il s’oppose aux nerfs « sympathiques » qui, grâce à l’adrénaline, accélèrent la fréquence cardiaque pendant l’effort et… à l’inspiration.
De fait, n’oubliez jamais d’ajouter à votre expiration passive une expiration active complète. Ainsi, vous faites pencher la balance vers le système d’apaisement. De surcroît, vous augmentez la différence de fréquence cardiaque entre inspiration et expiration. Vous gagnez en « variabilité cardiaque ».
Vous avez probablement entendu parler de cette notion : sa valeur serait corrélée à l’état de forme et même au pronostic vital ! Avec l’habitude, en vous concentrant un peu, vous parvenez même à percevoir votre cœur qui bat dans votre poitrine. Profitez de votre récupération en position couchée pour aller à la rencontre de cette sensation apaisante. En effet, dans ces conditions, votre cœur bat un peu plus fort pour deux raisons. Premièrement, vos muscles réclament encore un surcroît d’oxygène. Deuxièmement, votre sang revient plus aisément au cœur et met en tension élastique les oreillettes et les ventricules.
Relâchez, récupérez !
Souvenez-vous, comme la respiration, la contraction musculaire est à la fois réflexe et volontaire. Voilà encore une piste pour agir sur le fonctionnement intime de votre corps ! La relaxation peut vous aider à réduire votre tonus musculaire de repos et ainsi, favoriser votre récupération.
Allongez-vous sur un tapis ou sur un transat. Étendez vos bras de chaque côté de votre buste. Pour favoriser le relâchement musculaire, rechercher une sensation de pesanteur. Desserrez les mâchoires, respirez en partie par la bouche. Faites lourde la tête, lourdes les épaules, lourds les bras, lourd le bassin, lourdes les jambes… puis recommencez lentement haut en bas.
Progressivement, vous sentez s’élargir les surfaces d’appui de votre corps sur le sol. Peu à peu, vos doigts s’ouvrent et vos pieds basculent en rotation externe. Ces perceptions se majorent à l’expiration, comme si vous vous enfonciez dans un matelas profond. Quand vous êtes bien relâché et concentré, vous sentez que tout votre corps respire. Vos articulations s’ouvrent à l’inspiration et se referment à l’expiration. Parfois même, vous percevez le sang qui pulse dans vos extrémités, notamment dans vos doigts.
Ce balayage global vous apprend à mieux analyser vos positions articulaires. Ce scanner complet constitue un véritable exercice psychomoteur ! Il favorise probablement votre coordination. Si vous avez des difficultés à détendre vos muscles, commencez par les contracter ! Soulevez un peu les bras, rigidifiez-les comme si vous vouliez pousser une voiture, serrez les poings ! Relâchez brutalement et percevez plus aisément la décontraction par contraste. Faites de même avec les jambes !
Relaxation après l’effort : Comment faire ?
Après le « retour au calme » clôturant la séance d’aquabiking. Particulièrement recommandée le soir.
Durée : 5 à 10 minutes
Position : allongé sur un tapis ou sur un transat, les bras le long du corps.
Respiration : Prendre conscience de sa respiration. Sentir l’air qui passe par les narines ; la poitrine et le ventre qui bouge. Inspirer lentement et profondément. Expirer calmement et complètement.
Relâchement : Prendre conscience de l’attitude de son corps. Percevoir les positions articulaires et les zones de pression sur le tapis. Desserrer les mâchoires. Rechercher la sensation de pesanteur de haut en bas. Scanner son corps à plusieurs reprises.
Par le docteur CASCUA, médecin du sport.
Les bienfaits de l’aquabiking avec une Sclérose en plaques
De nombreuses idées reçues sont véhiculées dans le monde de la sclérose en plaques (S.E.P.). L’une des plus répandues est qu’il ne faut plus pratiquer d’activité physique au risque d’augmenter la fatigue liée à la maladie. Nous souhaitons ici rassurer les patients : l’aquabiking et la maladie ne sont pas incompatibles, bien au contraire !
À l’heure actuelle on ne guérit malheureusement pas de la sclérose en plaques, il faut donc apprendre à vivre avec et faire le nécessaire afin de retarder au maximum l’apparition des premiers troubles handicapants. L’un des principaux symptômes de la S.E.P. est la fatigue qui devient rapidement handicapante car elle entraîne une réduction de la vie sociale, des activités quotidiennes et professionnelles… Des difficultés locomotrices sont également observées, secondaires à l’apparition d’une faiblesse motrice, une rigidité des membres (spasticité), à des troubles de l’équilibre ou de la coordination.
L’arrêt du sport aggrave le handicap
Une enquête réalisée par le réseau de santé alSacEP a mis récemment en évidence que la principale cause d’arrêt du sport pour les personnes atteintes de S.E.P. était la maladie elle-même. Ainsi, près de 50 % des patients, préalablement sportifs, interrompent toute activité sportive au moment du diagnostic. De fait, les personnes atteintes se sentant fatiguées, évitent de pratiquer un sport ou une activité physique de peur d’accentuer encore plus la fatigue créée par la maladie. Et suite à l’annonce du diagnostic, difficile à surmonter, beaucoup passent par une phase d’acceptation délicate et nombreux sont ceux qui stoppent toute activité physique.
Depuis plusieurs années et notamment grâce aux travaux menés au Canada, nous constatons que ce manque d’activité physique est délétère, entraînant la personne dans ce que l’on appelle une spirale de sédentarité. Or, dans la plupart des cas, la fatigue est au contraire accentuée par le déconditionnement à l’effort. Et la fatigue est un symptôme apparaissant, dans la majeure partie des cas, bien avant les premiers troubles handicapants. Elle sera donc en partie responsable de la persistance de ces troubles si le malade ne maintient pas une activité physique régulière pour limiter l’apparition d’un handicap.
Plus fort comme les poussées
Depuis le milieu des années 1980, de nombreuses études ont démontré que les activités d’endurance avaient des effets positifs sur la fatigue. Le déconditionnement est donc possiblement réversible et faire travailler le système cardio-pulmonaire pourrait permettre de diminuer l’impact de la fatigue voire même retarder l’apparition de celle-ci lors d’un effort.
Les différentes études nous montrent que les exercices d’aérobie renforcent non seulement la santé cardiovasculaire et la capacité des membres, mais permettent également de diminuer la dépression et la fatigue. De ce fait, lorsqu’une poussée* intervient, la force musculaire acquise grâce à l’exercice physique fournit un terrain solide pour le rétablissement. Il n’est donc pas impossible, voire même recommandé, de pratiquer un sport ou une activité physique lorsque l’on est atteint d’une pathologie telle que la S.E.P.
Le pratiquant devra éventuellement adapter son activité en fonction des difficultés qu’il peut éprouver : informer les responsables de l’association sportive ou bien s’orienter vers les clubs et structures adaptés bénéficiant d’une section handisport. Avant de reprendre un sport, faire plusieurs séances de ré-entraînement à l’effort est recommandé pour se remettre en forme et connaître ses limites. Il faut aussi préférer une activité régulière échelonnée sur la semaine plutôt que concentrée en une seule séance.
Pratiquer une activité physique permet aussi de penser à autre chose pendant quelques heures et d’ajouter ainsi aux bienfaits physiologiques des effets positifs sur son état psychologique.
À la recherche de nouveaux repères
Nous préconisons aux patients souhaitant commencer ou continuer une activité physique de s’orienter vers un nouveau sport dans lequel aucun repère n’a déjà pu être établi dans un passé proche. De ce fait, les comparaisons ne se feront plus sur les aptitudes passées mais bien sur les évolutions d’une séance à l’autre.
Une étude pilote a été réalisée récemment par le réseau alSacEP en partenariat avec le groupe associatif SIEL Bleu, spécialisé dans l’activité physique adaptée, sur un groupe de 3 patients atteints de S.E.P. Réalisé sur une période d’un mois, le programme comprenait une heure de ré-entraînement à l’effort et une heure de stretching et équilibre par semaine. Sur une aussi courte période, nous avons observé des évolutions significatives chez les pratiquants : la fréquence cardiaque en course a été réduite, la vitesse de course ou de marche et la distance de marche ont été augmentées, la souplesse a été améliorée et les temps d’équilibre ont évolué avec des augmentations variant de 122 à 532 %.
Une étude complémentaire lancée à l’automne permettra de mieux comprendre les mécanismes physiopathologiques mis en jeu lors de l’entraînement et ainsi de mieux argumenter de l’intérêt de l’exercice chez les patients atteints de SEP.
L’activité physique permet de développer ses capacités énergétiques, de reculer le seuil d’arrivée de la fatigue et ainsi de maintenir l’autonomie dans les activités quotidiennes. En permettant aux personnes de réinvestir leurs corps ou par son action de vecteur de lien social, elle a également des effets bénéfiques sur le plan psychologique. Avec sa marque sportive Solidaires en Peloton, la Fondation ARSEP promeut depuis 2 ans déjà, l’activité physique comme un complément aux thérapeutiques et permet grâce à son réseau d’informer et de motiver les personnes touchées par la maladie dans toutes les régions de France.
La Sclérose en plaque
La sclérose en plaques (S.E.P.) est la première cause de handicap non traumatique chez les jeunes adultes âgés de 20 à 40 ans et touche plus de 80 000 personnes en France. Elle concerne majoritairement les femmes puisque deux tiers des personnes touchées sont de sexe féminin. La S.E.P. est une pathologie neurologique entraînant la disparition de la myéline entourant les fibres nerveuses du système nerveux central (cerveau, nerfs optiques et moelle épinière). Cette démyélinisation provoque un ralentissement de la transmission de l’influx nerveux ; l’information élaborée par le cerveau n’est plus ou mal envoyée aux différentes parties du corps, ce qui explique les signes de la maladie :
Solidaires En Peloton
Marque d’espoir et de solidarité, Solidaires En Peloton, grâce au sport, rassemble l’énergie et la combativité de tous, malades ou non, pour faire avancer la recherche sur la SEP avec la Fondation ARSEP. Vous aussi, vous pouvez participer : inscrivez-vous à un événement répertorié au calendrier Solidaires En Peloton (blog http://solidaires-en-peloton.blogspot.fr). Portez le maillot Solidaires en Peloton (en vente sur le blog ou le site de la Fondation : www.arsep.org). Proposez à votre entreprise, votre club de sport, de monter une action sportive en soutien à la Fondation. Vous pouvez aussi faire un don à la Fondation ARSEP. Plus de renseignements : 01 43 90 39 39 solidairesenpeloton@arsep.org La Fondation ARSEP, reconnue d’utilité publique, est agréée par le Comité de la Charte pour un don en confiance.
Références :
ZAENKER (P.), ZAENKER (A.), ONGAGNA (J.-C.), ZAENKER (C.), DE SEZE (J.), Évaluation de l’activité physique chez les patients atteints de sclérose en plaques, Revue neurologique, Tome 167 supplément 2, Elsevier Masson, avril 2011, p.A135
VAN DEN BERG (M.), DAWES (H.), WADE (D.T.), NEWMAN (M.), BURRIDGE (J.), IZADI (H.), et al. Treadmil training for individuals with multiple sclerosis: a pilot randomised trial. J Neurol Neurosurg Psy 2006;77:531–3.
GALLINE (P.) et al. Réentraînement à l’effort et sclérose en plaques, Annales de réadaptation et de médecine physique n°50, p.369-372
DEPIESSE (F.), GRILLON (J.C.), COSTE (O.), Prescription des activités physiques : en prévention et en thérapeutique, Paris, Masson, 2009.
Livre blanc de la sclérose en plaques, Comité de pilotage des États Généraux de la Sclérose en plaques, Édition et publication du Livre blanc de la Sclérose en plaques, avril 2006.
Par Pierre ZAENKER, Doctorant en STAPS sur les déficiences et les activités physiques adaptées et Professeur Jérôme DE SEZE, du service Neurologie au CHU Strasbourg.
Aquabiking pour les plus de 45 ans : une alimentation spécifique ?
Arrivé au cœur de la vie active, à mi-chemin entre la jeunesse insouciante et la vieillesse invalidante, le sénior aquabikeur(euse) doit-il manger différemment ? Une alimentation ciblée peut-elle contribuer à lutter contre la prise de graisse, la perte de muscle et les maladies d’usure ?
Le «sénior fédéral» se définit par un âge supérieur à 18 ans. Le «sénior sociologique» est un jeune retraité, il intègre cette catégorie entre 60 et 65 ans … les avis divergent … le débat rage ! Le «sénior médical» a plus de 40 à 45 ans, le consensus scientifique est plus serein ! A partir de ce moment charnière, il prend de la graisse sur le ventre, il perd du muscle, ses usures articulaires se manifestent, ses maladies du cœur s’expriment plus volontiers. Heureusement, mieux se nourrir peut limiter le processus !
Une tendance accrue à prendre du poids !
Les chiffres sont à la fois durs et formels ! Après 45 ans, sans rien changer à leur alimentation, 40% des hommes présentent une tendance accrue à fabriquer du gras, notamment sur le ventre. En même temps, des anomalies biologiques commencent à poindre. On attribue l’une et les autres aux conséquences d’éventuels excès de table cumulés depuis l’âge de 20 ans.
Or, à 80%, il s’agit d’un phénomène génétique que les spécialistes désignent sous l’expression «syndrome X» ou encore «syndrome métabolique», voire « syndrome du gros ventre ».
Les femmes en sont relativement préservées, du moins avant la ménopause. La proportion qui y est confrontée passe de 6% en période d’activité génitale à 26% deux ans après l’arrêt des cycles. Cet état résulte d’une efficacité diminuée de l’insuline, se traduisant par une propension accrue à fabriquer des graisses au niveau des cellules grasses du ventre, puis à les y stocker. Ce phénomène se fera principalement à partir des sucres.
Autrement dit la consommation de produits sucrés, voire de riz ou de pâtes blanches, de pain et de farines raffinées va favoriser, à distance des séances d’aquabiking, la fabrication de graisses. Bien plus que les graisses alimentaires c’est le sucre qui va poser problème.
Un curieux paradoxe
On se trouve alors confronté à un curieux paradoxe. D’un côté, on répète au sportif qu’il doit manger « des sucres lents », et de l’autre on suspecte de plus en plus une mauvaise réponse aux glucides de faire le lit du surpoids et des anomalies métaboliques. Alors ?
Une première remarque ; si on se met (ou qu’on se remet) a l’aquabiking pour perdre du poids et « brûler des graisses », quel est le sens d’une consommation massive de sucres ?
Les glucides constituent le carburant principal de nos muscles dans le contexte d’efforts intensifs, qui sont minoritaires relativement à ceux effectués dans un registre plus doux. La plupart du temps, l’organisme consume un mélange, en proportions variables, de sucres et de graisses. Un relatif équilibre reste nécessaire. D’autre part, juste après l’activité, nos tissus notamment les muscles conservent une forte avidité pour les glucides, qu’ils vont stocker de manière privilégiée. Sur ce court laps du temps, le processus de détournement vers le tissu adipeux sera minimal. A l’inverse, plus on s’éloigne de la période d’activité, plus le détournement et la transformation des sucres deviennent prépondérantes.
Concrètement deux conseils en découlent :
– A) mieux vaut faire 4 fois 30 min de sport par semaine que deux fois une heure. En effet, dans le premier cas de figure, on va bénéficier deux fois plus de ces périodes « privilégiées » où on court-circuit le tissu adipeux.
– B) On privilégiera les sources de glucides (y compris ceux qu’on surnomme abusivement les « sucres lents »), au cours des repas immédiatement situés après les exercices. Par exemple si la séance d’aquabiking est effectuée le matin ou le midi, le riz ou les pâtes seront consommés le midi, alors que le soir seulement des légumes accompagneront la viande ou le poisson.
Moins de sel et plus de végétaux pour protéger les os
A l’approche de la ménopause on s’inquiète de plus en plus pour ses « vieux » os. L’alimentation peut jouer un rôle relativement protecteur à l’encontre de ce processus défavorable. C’est relativement connu, et si deux nutriments devaient être cités à l’occasion d’un sondage par micro-trottoir, nul doute qu’on évoquerait le calcium et la vitamine D.
Pour ce qui est du calcium, sa place est prépondérante jusqu’à 20 ans, âge où le capital osseux s’est constitué. Mais au-delà, la richesse en calcium de la ration n’influe que très peu sur la densité de l’os. Ce qui compte plus que tout, c’est le niveau des pertes urinaires en calcium. C’est-à-dire ? Cela revient à pointer du doigt deux erreurs majeures : l’excès de sel et le trop-plein d’acidité.
Le trop plein de sel doit être éliminé par le rein, il emmène avec lui du calcium ! Dommage ! Dans l’os le calcium est stocké sous forme de bicarbonate de calcium. Le bicarbonate est une puissante substance antiacide. Alors, pour tamponner l’acidité chronique du sang, l’os se délite et perd son calcium. Dommage !
Concernant le sel (sodium) ce n’est pas l’ajout systématique sur les plats qui est en cause. Le souci provient plutôt du sel déjà présent dans certains aliments (pain, fromage, charcuterie, plats industriels), et de l’insuffisance d’apport en potassium, issu des fruits et légumes. En ce qui concerne l’excès d’acidité, l’évolution de notre ration industrialisée, avec toujours plus de produits d’origine animale et de céréales et trop peu de végétaux frais, va dans le sens d’une acidose excessive. Or, cette dernière favorise les pertes urinaires de divers minéraux, en particulier celles du calcium.
Pour ce qui est de la vitamine D, la situation est plus compliquée, du fait que les déficits sont très répandus dans la population. L’une des raisons à cette tendance, retrouvée sous toutes les latitudes, tient sans doute à la restriction touchant ses meilleures sources, souvent bannies au prétexte qu’elles sont trop grasses (poissons bleus, abats, gibiers). Pensez aux Japonaises. Bien que ne consommant pas de laitages, elles souffrent très peu d’ostéoporose. Et leurs marathoniennes font moins de fracture de « fatigue » que leurs homologues occidentales !
Des aliments clés contre la crise cardiaque et le cancer
Les accidents cardio-vasculaires ou la découverte de cancer augmente nettement à l’approche de la cinquantaine. La pratique régulière de l’aquabiking exerce un effet ambivalent vis-à-vis de ces maladies. La relation associant ces maladies à cette pratique sportive décrit une courbe en « U ». Trop ou trop peu sont deux situations tout autant défavorables.
La question qui se pose est de savoir quel est le niveau de pratique optimal pour un individu « x ». Cela va dépendre des facteurs « environnementaux », au premier rang desquels, outre le tabagisme et l’activité, figure l’alimentation.
De ce point de vue, il est aujourd’hui reconnu qu’une ration inspirée du modèle crétois, riche en acides gras «oméga 3» (huiles de colza, de noix, de cameline, lin, noix, poissons bleus, aliments « Bleu Blanc Cœur ») et en antioxydants (fruits et légumes, épices, aromates, vin rouge, thé vert) va conférer une protection maximale.
De plus, ce modèle est compatible avec la prévention du syndrome métabolique et de l’ostéoporose. A l’opposé de la malbouffe actuelle en fait !
Des protéines le matin pour le dynamisme et les muscles
L’une des caractéristiques propres à cette tranche d’âge est l’implication importante dans la vie active. Famille, travail, transport, il faut encore trouver du temps pour faire de l’aquabiking … parfois au détriment des repas ou sur les créneaux horaires qui leur sont habituellement consacrés.
Pas moins de 30% des aquabikeurs(euses) quadra ou quinqua font du sport le midi. Cette habitude, qui leur permet de rester actifs, nécessite une réorganisation des repas. Celui du midi sera plus souvent réduit à portion congrue ou différée dans le temps. C’est l’une des raisons pour lesquelles on peut recommander l’ajout, au petit déjeuner, d’un aliment riche en protéines, œuf, jambon, bacon, fromage, ce qui va à la fois différer le retour de la sensation de faim, compenser un éventuel en-cas pris sur le pouce entre treize heures et treize heure trente, et apporter des nutriments stimulants le fonctionnement cérébral. Cet apport matinal en protéine contribuera également à préserver la masse musculaire qui décline insidieusement chez le sénior.
Par M. RICHE, doctorat de nutrition humaine et diplômé de Micro-nutrition.
Les boissons énergisantes non adaptées en aquabiking
Beaucoup de confusion règne dans l’esprit des aquabikeurs(euses) au sujet de l’usage des boissons énergisantes. Un amalgame est d’ailleurs souvent créé entre boissons énergisantes et énergétiques.
En septembre 2013, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) a publié une étude sur l’évaluation des risques liés à la consommation de boissons dites «énergisantes».
À moins de vivre à l’écart de la civilisation, vous avez forcément remarqué le matraquage publicitaire réalisé par les marques de boissons énergisantes qui ciblent principalement un public jeune, sportif et fêtard. Cette présence de plus en plus banalisée dans le sport de ces boissons pose deux problèmes majeurs importants à appréhender si l’on veut préserver la santé des sportifs.
Une boisson énergisante n’est pas une boisson énergétique
Souvent utilisés de façon indifférente, les termes « énergétique » et « énergisante » attribués aux boissons caractérisent pourtant deux produits bien distincts, bien spécifiques et non soumis à la même réglementation. Leurs compositions sont très différentes. Décodage.
LA BOISSON ÉNERGÉTIQUE
La boisson énergétique (Sport Drink), également appelée boisson isotonique ou diététique de l’effort d’apport glucidique, est une boisson dont la formule a été élaborée pour aider les sportifs dans des situations d’activités intenses. Elle est encadrée par une réglementation spécifique des denrées destinées à une alimentation particulière et élaborée pour répondre à des besoins physiologiques spécifiques comme l’hydratation grâce, par exemple, à un apport en sodium ou en potassium.
LA BOISSON ÉNERGISANTE
La boisson énergisante (Energy Drink) n’est pas une boisson énergétique ! Le terme « énergisant » désigne une boisson dont la composition utilise un mélange de différents ingrédients dits « stimulants ». Elle est, généralement, destinée à donner un regain d’énergie à son consommateur. Ce type de boisson, en vente libre, est souvent utilisé dans un cadre festif, souvent mélangée à de l’alcool. Dans la formulation de ces boissons, on retrouve souvent des taux de caféine très élevés, la présence de sucres ou encore de plantes utilisées pour leurs effets stimulants.
La présence d’extraits de ces plantes doit alerter le consommateur sportif. En effet, certaines plantes peuvent contenir des substances interdites par la législation antidopage. À titre d’exemple, en 2011, Mike RODGERS, athlète américain, a prétendu avoir été contrôlé positif à la suite de la consommation d’une boisson énergisante…
Les boissons énergisantes ne réhydratent pas !
Contrairement aux boissons énergétiques qui favorisent la réhydratation, les boissons énergisantes ne réhydratent pas. C’est pourquoi elles peuvent devenir dangereuses, notamment lors d’un effort physique. En effet, dans le cadre d’une activité physique intense, certaines substances comme la caféine peuvent contribuer à accélérer la déshydratation, ce qui peut favoriser le risque de blessures ou de troubles cardiaques et ainsi augmenter la toxicité d’autres substances. Ces problématiques relatives à la santé des athlètes doivent bien sûr être prises très au sérieux.
La Food and Drug Administration enquête actuellement sur 33 hospitalisations et 13 décès qui seraient dus à la consommation de boissons énergisantes… Malgré les études et les enquêtes, on sait déjà qu’il sera très difficile de lutter contre le puissant marketing lié aux boissons énergisantes. Ce marketing s’appuie sur un « esprit fun » et décalé, ce qui est bien sûr de nature à séduire un jeune et large public.
À titre d’exemple, un ancien coureur cycliste renommé (et reconnu coupable de dopage) produit et vend une boisson énergisante à destination des sportifs dont le principal argument est : « fluorescent sous lumière noire ». C’est-à-dire que si vous l’utilisez en boîte de nuit, votre urine sera fluorescente ! Même avec des ailes, avouez que ça ne vole pas très haut… Nous sommes tous plus ou moins sensibles aux sirènes publicitaires. C’est pourquoi la plus grande des vigilances est recommandée quand il s’agit de consommer ce genre de produits. Si vous consommez des boissons énergétiques, veillez à vous assurer qu’elles soient conformes à la norme antidopage NF V94 001 (certifiées tierce partie). Évitez de consommer des boissons énergisantes lors d’un effort physique intense. Le cas échéant, assurez-vous de bien vous hydrater en parallèle.
Par Dorian MARTINEZ, CEO Chez SPORT PROTECT, et Léticia TRIGO, Directrice scientifique chez SPORT PROTECT.