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Vous aimez l’aquabiking, vous pédalez dans l’eau pour éviter les impacts articulaires, éviter l’arthrose et solliciter doucement votre rythme cardio-respiratoire, les bienfaits de l’aquabiking pour les séniors s’enchaînent.

L’aquabiking est une activité d’endurance mais compatible avec les séniors.

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Les gros muscles des membres inférieurs réclament de l’oxygène pendant plus de 30 minutes et le cœur est mis à contribution. Son intensité est très variable, les bénéfices et les risques cardiovasculaires aussi !

L’aquabiking s’effectue en aisance respiratoire. Elle est à rapprocher de la marche à pied. C’est bien pour renouer avec l’exercice mais il faut pédaler longtemps pour recueillir des bénéfices notables.

Faire de l’aquabiking à intensité moyenne telle que vous puissiez «parler mais pas chanter» correspond plus volontiers aux recommandations des cardiologues. Il suffit de 30 minutes à 1 heure, 3 fois par semaine pour recueillir les bienfaits cardiovasculaires de cette activité sportive aquatique.

Enfin, si vous faîtes de l’aquabike intense, sachez que certains cardiologues l’ont classés comme une pratique très contraignante pour le cœur. Selon ce consensus international, cette discipline associe un maximum de stress dynamiques et statiques. cela peut occasionner une très fortes élévation de la fréquence cardiaque, parfois même jusqu’au maximum. Les contractions musculaires puissantes qui écrasent les vaisseaux sanguins peuvent engendrer une très forte élévation de la tension artérielle.

Chez les séniors, un bilan médical consciencieux et une épreuve d’effort s’imposent pour limiter les risques et profiter des bienfaits d’une pratique aussi intense !

Entre arthrose et ostéoporose, l’aquabiking a choisi

Le mouvement de pédalage, en aquabiking, permet le rodage des articulations sur de grandes amplitudes sans impactions du poids de corps. C’est particulièrement vrai pour la hanche, c’est également le cas pour le genou. En pédalant vos muscles se renforcent et guident mieux le mouvement articulaire, préservant d’autant le cartilage.

L’aquabike entretient vos articulations et luttent efficacement contre l’arthrose.

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Malheureusement, l’absence d’impact du poids de corps n’a pas que des avantages. Une étude a mis en évidence que 69% des cyclistes professionnels présentaient une densité osseuse inférieure au sédentaire du même âge. La pratique d’un « sport porté » n’entraînant aucun choc osseux, 4 heures par jour, prive ces individus de pesanteur pendant la même durée. De fait, l’os se désadapte et se fragilise ! Bien sûr, le vélo de loisir n’a pas les mêmes conséquences mais cette étude démontre que ce sport n’améliore pas du tout la résistance des os. Sa pratique exclusive est déconseillée ! Il faut aussi marcher et courir. Les micro-traumatismes osseux stimulent les processus de reconstruction, oriente efficacement l’architecture des fibres microscopiques et accroît la densité des os.

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Votre dos découvre le « syndrome du grand singe »DSC09624

Sur votre aquabike vous êtes légèrement penché en avant, les deux mains légèrement écartées, en appui sur le guidon. Votre position ressemble étrangement à celle de nos cousins quadrupèdes, les gorilles et autres grands singes.

A vélo, vous ne bougez pas vos vertèbres. Pourtant, les articulations sont faites pour s’articuler ! Les disques ne tardent pas à se tasser vers l’avant et à bomber vers l’arrière : vos douleurs réapparaissent.

Une solution existe : apprenez à lâcher le guidon, redressez-vous et creusez votre dos régulièrement.

Si vous pratiquez intensément, vous recherchez la position du triathlète, vous êtes plus fléchis que la nature vous le propose spontanément. Plus rapidement encore, votre dos commence à tirer !

Faites preuve de pragmatisme, remonter un peu votre guidon, votre confort contribuera à améliorer vos performances !

Cet article m’a été inspiré par le Docteur Stéphane CASCUA, médecin du sport.

L’aquabiking recèle de nombreux bienfaits et peut vous aider à lutter contre le stress. Mais attention, mal pratiqué, il peut accroître votre stress et vous faire sombrer dans la dépression !

Vous quittez le bureau. Vous n’avez pas vu la journée passer. Depuis ce matin vous êtes sous pression : les dossiers délicats se sont accumulés… et les tensions avec les collègues se sont accentuées. Heureusement, maintenant, vous avez rendez-vous avec vous-même. 45 minutes d’aquacycling est au programme ! Vous allez vous défouler !

Le stress, c’est quoi ?

Le stress constitue l’ensemble des réactions chimiques permettant de s’adapter à une situation nouvelle. Chaque fois qu’un problème se pose à votre travail, il faut y répondre… et vous stressez. Le corps libère dans la circulation sanguine des hormones stimulantes. Ce sont essentiellement des substances proches de la fameuse « adrénaline ». Pour aider l’organisme à assumer ces contraintes, le cerveau sécrète aussi des produits antidouleurs appelés « endorphines ».

Le stress, ça sert à quoi ?

Le mécanisme chimique du stress n’est pas parfaitement adapté à notre vie moderne et sédentaire. Bien sûr, cette décharge hormonale éveille vos capacités intellectuelles et vous aide à assumer la pression mais elle fait aussi monter votre tension artérielle et surcharge votre sang en sucres et en graisses.

Ce processus a surtout permis la survie de nos ancêtres. Lorsque l’homme de Cro-Magnon croisait un ours, il vivait un stress. Il lui fallait s’adapter à cette situation inattendue, il lui était indispensable de fuir ou de combattre. Il devait fournir un effort violent… et le stress allait l’y aider ! Ses hormones provoquaient l’accélération de son cœur et libéraient son énergie, il pouvait courir ou frapper. Les « endorphines » réduisaient ses souffrances, il lui était possible de continuer la lutte malgré les blessures. Il survivait ! Son descendant pourrait travailler dans un bureau et faire de l’aquabiking !

L’aquabiking contre le stress, comment ça marche ?

Vous l’avez compris, le stress est une réaction de l’organisme particulièrement adaptée à l’exercice physique. Aussi vous concevez aisément que l’aquabiking puisse être considéré comme un « consommateur de stress ».

Tout se passe comme si les hormones et les calories libérées pendant la journée étaient brûlées au cours de la séance d’aquabiking !

L’entraînement se comporte aussi comme un « apaiseur de stress »

Le corps du pratiquant assidu prend la bonne habitude de mieux se reposer au cours des périodes de récupération. Le taux d’hormones du stress diminue. C’est pourquoi les sportifs entraînés, bénéficient d’un rythme cardiaque de repos plus lent que les sédentaires.

L’exercice physique est un véritable « entraîneur au stress ». Grâce a l’aquacycling, vous habituer votre corps à décharger les hormones du stress. Ainsi, vous assumez plus aisément les tensions psychiques inhérentes à la vie quotidienne. Votre stock en substances stimulantes est plus important, vous risquez moins l’épuisement et la dépression.

L’exercice physique est source de « bien-être antistress »

Les «endorphines » produites à l’effort, pour aider l’organisme à assumer les douleurs, laissent au repos une sensation de plénitude. Ces hormones pourraient, en partie, justifier la dépendance psychologique aux activités physiques.

Le sport, et tout particulièrement, l’aquacycling peut agir comme « régulateur de stress ». En effet, pour obtenir de bons résultats, il faut un minimum de motivation. Sur la ligne de départ, le cerveau, un peu anxieux, se met sous tension et s’éveille, les muscles et le cœur se préparent et bénéficient des quelques stimulations hormonales. Sans aucun stress, l’organisme ne parvient pas à entrer en action et la performance sera médiocre. Si la pression est excessive, l’activité cérébrale devient désordonnée et l’énergie est dilapidée avant que le coach ne lance les pratiquants.

Au-delà du fonctionnement chimique de notre organisme, l’aquabiking recèle des « vertus psychologiques antistress » non négligeables.

Nombre de sports techniques imposent de la concentration. Voilà qui oblige à se «changer les idées ».

Souvent, la pratique physique s’inscrit dans un projet. Faire au mieux pour le mener à bien aide à se déconnecter de ses soucis quotidiens.

Enfin, aller s’entraîner est fréquemment l’occasion de « voir du monde ». Si la pratique sportive constitue le fil conducteur de ces relations, elle peut contribuer à tisser de solides amitiés. Dialogues, confidences et liens affectifs aident alors à exprimer puis à évacuer les tensions.

Attention, le sport c’est aussi un stress !

Désormais, vous l’avez compris, le sport est bon contre le stress… car il entraîne le corps au stress. Le sport est un véritable stress. C’est un stress physiologique !

Il provoque les mêmes sécrétions hormonales. Mais l’activité physique est aussi un stress psychologique. Afin d’assumer vos bonnes résolutions, pour maîtriser votre poids, pour coller à votre image de sportif, vous devez allez vous entraîner régulièrement. Sans votre séance d’aquabiking, vous ne vous sentez pas bien. L’aquacycling est peut-être devenu votre drogue !

Si vous ressentez le besoin de vous entraîner ; si vous êtes mal à l’aise sans vos efforts réguliers, les psychiatres pensent que vous êtes devenu dépendant ! Le sport est un stress logistique et affectif. Souvent, votre cours d’aquabiking du jeudi soir n’est qu’un rendez-vous supplémentaire au sein de votre agenda surchargé. Pour ne pas le rater, l’organisation de votre journée professionnelle doit être irréprochable. Aussi vous regardez votre montre dès le début de l’après-midi… vous êtes stressée ! Parfois même, vous avez l’impression d’empiéter sur le temps que vous pourriez consacrer à vos enfants et votre famille. Vous culpabilisez et vous stressez ! Si une activité physique trop contraignante vient s’ajouter à tous les stress du quotidien, elle peut vous faire basculer vers l’épuisement.

Il est étrange de constater comme les signes de « surentraînement » ressemblent à s’y méprendre à ceux de la dépression. Réduction de l’activité, altération des performances intellectuelles ou physiques, troubles du sommeil ou de l’alimentation, plaintes corporelles multiples ou blessures à répétition imposent un avis médical.

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Quel sport contre le stress !

Choisissez les activités qui vous conviennent ! Faites-vous plaisir à l’entraînement ! Selon votre personnalité « introvertie » ou « extravertie » (voir chapitre suivant) optez pour un sport défouloir ou relaxant. Diversifiez vos pratiques sportives afin de ne jamais vous ennuyer mais aussi de solliciter l’ensemble de votre organisme.

Modérez votre entraînement. Trop dur, trop longtemps, trop souvent et le corps se fatigue. Pour assumer, le quotidien, il doit augmenter la sécrétion en hormones stimulantes. Il est contraint d’accroître votre stress ! Optez pour 3 entraînements par semaine, de 30 minutes à 1 heure, à une intensité correspondant à un très léger essoufflement.

Organisez-vous souplement. Si votre programme quotidien est très dense, renoncez aux activités trop éloignées de votre domicile. Évitez les entraînements collectifs imposant des horaires rigides. Faites votre jogging quand bon vous semble. Abonnez-vous à une salle située à deux pas de chez vous ou profitez de votre salon pour faire un peu de gym en écoutant votre musique préférée.

Gardez du temps pour vous adonner à d’autres loisirs ! Si votre activité physique réquisitionne tous vos moments de détente, vous vivez votre pratique sportive comme une frustration, elle ne fera qu’accentuer votre stress !

À chacun son sport anti-stress

Les « introvertis » sont ceux qui encaissent sans riposter. Ils ruminent et ne parviennent pas à expulser les tensions. Souvent, leur corps exprime pudiquement leur imprégnation en hormones du stress et leur malaise. Ils se plaignent fréquemment de maux de tête, de douleurs abdominales, de serrements de gorge ou de souffrances vertébrales.

Les « introvertis » bénéficient alors pleinement d’activités sportives exutoires particulièrement physiques. Les sports collectifs et techniques obligent à communiquer et à se concentrer. Le foot ou le rugby pourraient être conseillés. En revanche, la natation, le vélo ou le jogging permettent trop de ressasser leurs soucis.

Les « extravertis » sont ceux qui explosent à la moindre contrainte et n’arrivent pas à se maîtriser. Leurs cerveaux expriment trop aisément le stress ! Ils s’épuisent. Ils font souffrir leurs collègues de travail et leur entourage familial.

Les « extravertis » profitent grandement d’une activité sportive canalisante, apaisante et régulatrice. Bien sûr, la dépense énergétique contribue à calmer ce type de personnalité ; les efforts d’endurance même solitaires peuvent être proposés. Les exercices imposant contrôle gestuel et détente paraissent également adaptés.

L’aquabiking réalise un excellent compromis entre sollicitation physique et technique.

 

Cet article m’a été inspiré par le Docteur Stéphane CASCUA, médecin du sport et nutritionniste du sport.

Le corps humain comprend plus de 640 muscles dont la taille varie selon leur fonction. Ces muscles constituent en moyenne 43 % de la masse sèche du corps.

La contraction musculaire permet de mouvoir des parties du corps s’il s’agit de muscles squelettiques, ou de mouvoir des substances à l’intérieur du corps s’il s’agit de muscles lisses ou cardiaques.

Physiologie

Le bon fonctionnement des muscles nécessite une source d’énergie par l’apport de sucres issus de notre alimentation (combustible) et d’oxygène prélevé dans l’air ambiant par les poumons (comburant). La circulation sanguine permet de véhiculer ces produits dans le muscle et d’évacuer le gaz carbonique (CO2) ou les produits toxiques, résultant du catabolisme, dans le torrent circulatoire (circulation sanguine générale).

Tout travail musculaire doit également passer par une phase suffisante de repos physiologique pour permettre la régénération métabolique du système. À défaut de tout repos, le métabolisme musculaire produit de l’acide lactique (lactates, fermentation, métabolisme anaérobie) et le muscle passe par l’état douloureux d’une crampe. Ceci réduit ou stoppe l’activité musculaire, contraignant ainsi le muscle à transiter par une régénération métabolique salutaire, ou phase de repos physiologique.

L’énergie musculaire est principalement constituée d’ATP (Adénosine Tri-Phosphate) par le biais de la transformation du glucose (glycogène, glucides) via le cycle de Krebs (métabolisme aérobie).

L’exercice

L’exercice est souvent recommandé comme moyen d’améliorer les capacités motrices, l’agilité et la force musculaire.

L’exercice a divers effets sur les muscles, les tissus conjonctifs, les os, et les nerfs qui stimulent les muscles.

Les atouts de l’aquabiking

Le principal atout de l’aquacycling est de développer l’endurance cardio-vasculaire et musculaire.

Cette activité sollicite à la fois le muscle cardiaque et les muscles du corps de la tête aux pieds, en passant par les abdominaux, les pectoraux, les bras, le dos, les fessiers et surtout les membres inférieures permettant ainsi de les affiner et de les rendre plus toniques.

La cellulite

L’aquacycling est un excellent moyen de faire la chasse à la cellulite : le mouvement de flexion-extension de la jambe relance la circulation, fait travailler les muscles en profondeurs et améliore donc significativement la circulation sanguine.

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Un pédalage efficace

Malgré sa simplicité apparente, le pédalage aquatique est un mouvement qui doit s’apprendre. Ou du moins s’optimiser afin d’exploiter au mieux ses ressources biomécanique.

L’essentiel du travail technique porte sur l’orientation du pied sur la pédale pendant le cycle de pédalage, avant ou arrière, afin d’optimiser le couple de force.

Le mouvement de pédalage peut se décrire en 4 phases qui s’enchaînent les unes aux autres. Les études biomécaniques soulignent l’aspect dynamique (c-a-d participant à la propulsion) de ces 4 phases : on ne parle plus de point mort bas ou haut, mais de zones de moindre efficacité (ou zones de transition). Pour autant , le cycle de pédalage permet, pour chaque groupe musculaire, l’alternance de phases de travail et de récupération.

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Le but du jeux en aquacycling est de réduire au minimum les 2 phases de transitions afin d’effectuer un « pédalage rond » synonyme de meilleur rendement que se soit en pédalage avant ou arrière !

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